Robert E. Howard, le papa de Conan, a plus d’un héros a son arc, parmi lesquels Solomon Kane, qui n’est pas exactement un citoyen modèle (comme ça, j’ai placé mon Citizen Kane). Faut aimer les fanatiques religieux qui purgent tout sur leur passage à coups de pétoire, épée et flammes… et c’est pas trop mon cas.
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C’était un long moment de silence.
Maintenant qu’on a bien déconné, un peu de sérieux.
Un long moment de silence
Paul Colize
Folio policier
Les Choriziales, le festival de SF qui envoie du pâté
Fin juillet, Étienne Klein bernait les internets en faisant passer une tranche de chorizo pour une étoile photographiée par le télescope spatial James Webb.
Fin août, les Utopiales révèlent l’affiche du festival qui se tiendra du 29 octobre au 1er novembre à Nantes, dans les prisons de laquelle il y a un prisonnier diguedondaine.
J’ai réussi à tenir cinq minutes sans faire le con avec l’affiche.
La collection Selen présente…
Publiée entre 1996 et 2003 par Vents d’Ouest, la collection “Selen présente” regroupe trente albums de dessinateurs portés sur la chose, en majorité italiens (et autres que Manara) avec le renfort de quelques hispaniques, plus un artbook hors série. Petit tour d’horizon de ce que Selen a à nous proposer…
Critiques express (46) Une aiguille dans une botte de fions
Le Pétard Express est à quai sur la voie 69¾, prêt à nous embarquer pour une virée dans la bande dessinée érotique. C’est parti pour une aventure graphique sous le signe du voyage, de l’exotisme, des vacances et de la double pénétration.
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Les aventures du yautja, une saga qu’elle aurait pu être bien si en sept films elle ne s’était pas gaufrée les trois quarts du temps. On peut très bien vivre en n’ayant vu que le premier (Predator, 1987), à la limite le deuxième (Predator 2, 1990) et faire l’impasse sur le reste (Predators en 2010, The Predator en 2018, ainsi que les deux étronesques Alien vs. Predator). Quant à Prey qui sort en cette année 2022, des échos que j’en ai eus, il serait pas mal… ce qui me semble bien insuffisant pour une créature aussi iconique, la faute à la forêt (comme dans le premier, v’là l’originalité), au comble d’une violence trop camouflée (parce que Disney et on se demande comment des gens ont pu trouver que Mickey + Predator tenait la route comme équation des opposés) et à une absence de propos comme d’audace. Il s’annonce donc comme un film honnête mais pas impérissable que tout le monde aura oublié dans une paire d’années, voire une paire de mois.
En sept films, un seul aura été culte. Les autres, je ne sais pas s’ils saignent, mais on peut les tuer.