Vingt mille lieues sous les mers Jules Verne Éditions Famot
Je l’avais lu tout gamin et ça m’avait plutôt bien plu. J’ai remis le nez dedans maintenant que je suis plus ou moins adulte… Oh, la vache ! C’est long mais long… Et barbant ! En résumé, Vingt mille bornes dans l’ennui, c’est l’histoire de deux extrémistes qui bavardent en regardant les poissons avec des yeux de merlan frit.
Ayant décidé de me relancer dans la peinture de figurines, la question s’est posée : que peindre ? Un comble vu que je dispose d’un stock conséquent de plusieurs centaines de figs métal et plastique héritées de ma jeunesse… ‘Fin bref, après hésitation et réflexion, vu que le déclic de la reprise a eu lieu par le biais des Sœurs de Bataille de Warhammer 40,000 et que j’adore le design des modèles, j’ai décidé de lever une armée de l’Adepta Sororitas. L’idée a assez vite débordé de son cadre initial, ce qui n’étonnera personne quand on connaît ma propension à donner dans le pas orthodoxe. Mais on reparlera de mon approche personnelle des Sisters dans un sujet dédié à mon ost maison. En attendant s’est posée une deuxième question : où acheter les figurines ? Étant donné que les sources d’approvisionnement ne manquent pas, la vraie question était surtout : où acheter les figurines au meilleur rapport qualité/prix/service ?
Vampire : l’âge des ténèbres Jennifer Hartshorn, Ethan Skemp, Mark Rein-Hagen & Kevin Hassall (White Wolf pour la VO, Hexagonal pour la VF)
Sorti en 1996, Vampire: The Dark Ages aurait pu n’être qu’une vague déclinaison médiévale de son grand frère Vampire: la Mascarade. Il a su devenir un jeu à part entière, un de ceux où je me serais le plus éclaté.
L’Illusionniste est un de ces films qui laissent mi-figue mi-raisin. On passe un bon moment et on n’en sort pas déçu, mais… l’éternel “mais” qui fâche… on se dit aussi que le résultat aurait pu, à deux fois rien, être bien meilleur.
Vampire : la Mascarade Mark Rein-Hagen White Wolf / Hexagonal
En 1991 sortait Vampire : La Mascarade, qui a fait date dans l’histoire du jeu de rôle. J’y étais ! (Phrase que je repique à Goethe à propos de la bataille de Valmy.)