
Le rêve sous le pavillon noir
Jeanne-A Debats
ActuSF
Tel Albator, il revient ! Comme dans la chanson !
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Chroniques de livres, avis, critique, analyse, avec une bonne dose d’humour par-dessus. Les romans de littérature de genre (fantasy, fantastique, science-fiction, polar) se taillent la part du lion, mais j’aime aussi varier les plaisirs, les genres (Japon, histoire, politique, romance, jeunesse, vieux classiques), les formats (nouvelle, essai, BD, jeu de rôle).
Le rêve sous le pavillon noir
Jeanne-A Debats
ActuSF
Tel Albator, il revient ! Comme dans la chanson !
Continuer la lecture de « Le rêve sous le pavillon noir – Jeanne-A Debats »Le colonel Chabert
Honoré de Balzac
Librio
La Restauration, c’est tout nase et ses élites nobiliaires ne valent pas un pet de lapin au regard de celles du glorieux Empire, voilà ce qui ressort de cet opus. Bah non, c’est ni mieux ni pire, suffit d’ouvrir n’importe quel livre d’histoire pour en avoir la confirmation.
Le roman est court, ce qui présente deux avantages. D’une, on n’a pas le temps de s’ennuyer comme souvent dans les textes de Nono où les descriptions interminables rivalisent avec les dialogues dont on ne voit pas le bout. De deux, on n’a pas le temps non plus de mourir étouffé sous la mauvaise foi napoléonophile du machin.
Eschatologie du vampire
Jeanne-A Debats
ActuSF
Quand sort Eschatologie du vampire le monde entier saute de joie au plafond à l’idée de retrouver Navarre. Moi non. Déjà, parce que je suis une bille en saut en hauteur. Ensuite, parce que pour le retrouver, l’aurait déjà fallu que je le trouve tout court avant. Jamais mis le nez jusqu’alors dans un texte mettant en scène le susnommé.
Sans doute pas la meilleure porte d’entrée vers le monde de Navarre, peut-être même la pire, parce que t’arrives là comme un touriste, les mains vides, en ne connaissant rien à rien.
Commencer par Eschatologie du vampire avait tout l’air d’une idée de con.
C’est donc ce que j’ai fait.
Juste pour vérifier que j’avais raison.
C’était bien une idée de con.
Et géniale dans les mêmes proportions.
Connie la Barbare
Gianluca Maconi
Tabou
Trois tomes pour la série, soit un total de presque 400 pages.
Dont plus de 300 de trop.
Dix-sept à dix-neuf volumes selon les bornes retenues pour délimiter le sujet. En tous les cas, cette collection de fringues et de flingues a fait date et reste dans toutes les mémoires de ceux qui l’ont connue.
Le costume et les armes des soldats…
Liliane & Fred Funcken
Casterman
Dressage suivi de Une brune piquante
Les quatre jeudis suivi de Barbara
Bernard Montorgueil
Éditions Dominique Leroy
La biographie de Montorgueil est rapide à écrire : on ne sait rien de lui. Une série d’illustrations, quatre textes, plus un cinquième qui lui est attribué sans certitude. On ignore si les textes et les dessins qui les accompagnent sont de la même main. Ces travaux, qu’on date de l’entre-deux-guerres, circulent sous le manteau dans les années 50, avant d’être édités dans les années 70 sur papier, puis dans les années 2010 en numérique.
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