Quand Jean-Claude Convenant rencontre Alien Covenant…
Quand Fonzie rencontre Terminator…
Quand le Jason des films d’horreur rencontre les Argonautes de la mythologie grecque…
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Détournements de couvertures, de titres, de livres… Des ouvrages fictifs, des auteurs imaginaires, des parodies délirantes… Photoshop et moi, une grande histoire d’amour et d’humour.
Quand Jean-Claude Convenant rencontre Alien Covenant…
Quand Fonzie rencontre Terminator…
Quand le Jason des films d’horreur rencontre les Argonautes de la mythologie grecque…
Inspiré par un post de Clément Bouhélier sur sa page Facebook, voici un ouvrage sur les droïdes du monde celte. C’est un peu comme imaginer les pyramides égyptiennes en centrales électriques mais en plus original (parce que les théories fumeuses sur les pyramides, on sait plus où les mettre tellement y en a, alors ça ira, merci, au revoir).
On dirait un slogan pour une élection présidentielle, mais non.
C’est la même chanson tous les ans fin décembre, début janvier avec l’avalanche de mèmes à deux ronds sur le thème : “tel film de SF se déroule en [année qui démarre], préparez-vous à tatati tatata pour bientôt”.
Sauf que les films en question ne se déroulent pas du tout à la date concernée.
Solo: A Star Wars Story, c’est le drame de vouloir tout expliquer. On n’a pas besoin de tout savoir sur un personnage. C’est d’ailleurs ce qui fait une part de son intérêt : le mystère. Ce qu’on ignore, on peut l’imaginer, sans limite d’inventivité ni de budget, sans contrainte de cahier des charges, de production, de fan service. C’est la raison pour laquelle les préquelles sont décevantes. Pas seulement parce que la plupart sont (mal) faites pour de mauvaises raisons. Mais parce qu’elles sont toujours en dessous de ce qu’on avait imaginé.
J’ai donc repris le film. Retravaillé l’affiche. Renouvelé le casting.
Changé une lettre du titre.
Rien qu’une lettre.
Dans un esprit de curiosité scientifique, j’ai pris une citation et je me suis livré à un fact-checking.
Il s’agit en l’occurrence de la citation “On peut tout faire avec des baïonnettes, sauf s’asseoir dessus.” placée dans la bouche d’un peu tout le monde, de Napoléon à Clemenceau en passant par Émile de Girardin. Pour une fois, les éternels Gandhi et Einstein à qui on attribue la paternité de 99% des citations d’Internet ne sont pas nommés parmi les sources possibles.
Résultat de l’expérience : on peut tout à fait s’asseoir sur une baïonnette. C’est juste que ça fait super mal au cul.
N’essayez pas chez vous.