Mega Bloks est sans doute une des marques de jeu de construction dites “compatibles” les plus connues et une des plus anciennes encore en activité. Compatibles avec quoi ? Lego, pardi !
Née au Canada, l’entreprise a répandu ses briquettes dans le monde entier, mais son principal terrain de jeu reste le marché nord-américain. Tout un pan de son catalogue est occupé par des partenariats (Hot Wheels) et des licences avec pas mal de références liées à différents univers issus du cinéma (Star Trek, Pokemon, Iron Man, Pirates des Caraïbes) et des jeux vidéo (World of Warcraft, Halo, Call of Duty, Skylanders).
Mega Bloks n’est pas une marque que j’achète, mais il m’arrive de récupérer des briques par-ci par-là mélangées à des Lego dans des lots de brocante et de solderie et, à l’occasion, des bouts de sets. J’avoue n’avoir jamais été emballé. L’apparence des briques fait très bon marché pour ne pas dire toc à mes yeux et les différences de coloris rendent compliquée la compatibilité avec les Lego.
Dans le lot des trouvailles, deux boîtes Skylanders:Giants, chopées en solderie par ma mère à 1€ pièce, le tank troll et la tourelle de Sprocket.
Catégorie : Briques et bricolage
Parce qu’il n’y a pas que la lecture dans la vie, je me livre à d’autres passe-temps comme la cuisine, le bricolage et surtout les petites briques Lego.
AT-ST Walker Lego
Sans lien de parenté avec Johnny mais cousin du AT-AT, le Walker AT-ST partage avec ce dernier le statut de marronnier du catalogue Lego pour la licence Star Wars, increvable revenant qui repointe le bout du nez tous les six mois, en boîte ou en polybag, en petit ou en grand, en version Hoth, Endor ou Premier Ordre, avec une mention spéciale à l’édition Bozo du Mandalorian en 2021 (75254), qui pique les yeux tellement elle est moche.
Aujourd’hui, il sera question du set 75153, c’est-à-dire la version Rogue One vendue dans les cinquante balles par Lego et que j’ai pu dénicher pour trente sur eBay, où un particulier le revendait avec une boîte abîmée, d’où la ristourne. L’emballage, en piteux état, a fini à la poubelle… où il se serait retrouvé de toute façon. Pas la place pour garder tout un bazar de boîtes vides chez moi. Tout le reste était intact et c’est bien ce qui m’intéressait.
Ma collec’ Lego City / Friends (et autres machins contemporains)
City, ça n’a jamais été mon truc. J’en ai eu tout gamin, quand la gamme ne portait pas encore de nom spécifique, assez peu au regard du thème Moyen-Âge qui constituait le gros de ma collec’ de l’époque. Aucun de ces vieux sets urbains ne m’a marqué plus que ça, exception faite de la caserne de pompiers n°6389, mais c’est moins dû au contenu de la boîte elle-même – je n’ai jamais fantasmé sur les combattants du feu – qu’aux circonstances de son “acquisition” (on l’avait chouravée avec mon frangin dans un magasin de jouets, énorme boîte, beau butin vu qu’elle était vendue 322 francs).
Lego Castle : un peu de poliorcétique
Retour aujourd’hui sur trois modèles de mon enfance pour un article dédié à la guerre de siège sauce Lego : la catapulte des Faucons Noirs (Black Falcons Catpult n°6030 de 1984), la double catapulte des Chevaliers du Lion (Twin Arm Launcher n°6039 de 1988) et la tour de siège de cette même faction (Siege tower n°6061 de 1984).
Les envahisseurs sont là parmi nous
Je ne m’appelle ni David, ni Vincent, encore moins David Vincent. Si je n’ai comme mon auguste prédécesseur de la série Les Envahisseurs jamais trouvé de raccourci, ça vient surtout du fait que je ne cherchais pas après.
N’empêche que je les ai vus, vus de mes yeux vus, ce qu’on appelle vus avec un art consommé de la répétition du verbe voir.
Ma collection Lego Espace
Si je n’ai jamais été attiré par l’espace en tant que tel, j’ai toujours aimé la SF, les bases spatiales et les vaisseaux. J’ai aujourd’hui un paquet de constructions sur le sujet mais rien ou à peu près de canonique dans la gamme Space/Espace. Du Star Wars surtout et des engins appartenant à des licences aussi diverses que variées, de Warhammer 40K à Albator en passant par Capitaine Flam et Goldorak.
De la collection Espace de mon enfance, il ne me reste aujourd’hui rien du tout. Ça a le mérite de faciliter l’inventaire, terminé avant même d’avoir commencé. L’exercice d’aujourd’hui va consister à la reconstituer de mémoire à quarante ans d’écart. Plus compliqué que dans le cas des Pirates – j’en avais peu, donc facile de retrouver quelles boîtes – et de Castle – j’avais tout ou presque –, d’autant qu’en Espace il existait un paquet de petits engins très similaires entre eux, donc pas toujours évident de se rappeler quel modèle je possédais.