Aux Halliennales 2018, j’avais acheté pour l’anniversaire de madame K à part la trilogie Phitanie de Tiphaine Croville parue aux éditions Rebelle.
Depuis, la miss est devenue une grande fan de Phitanie. Elle a lu le premier tome – qu’elle a adoré. Elle est en train de lire le deuxième – qu’elle adore encore plus. Mais…
Mais elle n’a pas LE sac pour emballer ses bouquins. Moi, si (nananère). Ce sac “On est ce que l’on choisit d’être” faisait partie du pack Noël vendu par l’auteure l’an dernier.
Catégorie : Briques et peinture
Parce qu’il n’y a pas que la lecture dans la vie, je me livre à d’autres passe-temps comme la cuisine, le bricolage, la peinture de figurines et surtout les petites briques Lego.
Ma collec’ Harry Potter Lego
La plus petite collection de la galaxie et pour cause !
Je n’ai jamais eu d’affinités particulières avec la saga de J. K. Rowling, qui était plutôt pas mal fichue à ses débuts, beaucoup moins sur sa fin et ses dérivés torpillés par l’appel des sirènes mercantiles et cinématographiques. Question de génération, je suis de celle d’avant : Harry Potter me parle moins que Goldorak ou Albator.
De briques et de broc : compatibles Lego en vrac
Quand j’étais petit, il n’existait que Lego. La firme était détentrice des brevets sur les briquettes, le monde du jouet était simple : une seule brique pour les gouverner tous et dans le plastique les lier (sur l’air de “One ring to rule them all and in the darkness bind them.”).
Continuer la lecture de « De briques et de broc : compatibles Lego en vrac »Le Batwing Lego Movie
The Lego Batman Movie a été l’occasion de belles sorties côté briques et le Batwing ne fait pas exception. Ce bel engin d’un millier de pièces tient le double pari de la jouabilité et de l’exposition.
Continuer la lecture de « Le Batwing Lego Movie »Ma collec’ Lego Pirates (et troupes impériales)
Ma gamme préférée en son temps… alors qu’en fait, en jetant un œil à l’ensemble des sets sur Bricklink, je me suis rendu compte que j’en avais eu très peu étant gamin : six boîtes, dont une en double, soit in fine cinq références, deux d’entre elles étant en plus à mon frère (donc en moins pour moi). C’est fou de se dire que cette gamme m’aura autant marqué avec si peu…
Le fait est qu’elle est arrivée sur le tard quand j’ai commencé à m’éloigner des petites briques. Pis y avait pas mal de gros navires dedans, pas trop dans les moyens de ce que ma mère pouvait m’offrir, d’autant qu’elle s’était déjà saignée pour le bateau pirate Playmobil. Et enfin, fallait encore que les boîtes arrivent jusqu’à ma petite ville pas bien riche en magasins de jouets. Avant le temps béni d’Internet et des commandes aux quatre coins du monde, on devait faire avec ce qu’on trouvait sur place et y avait pas tout, loin de là.
Bref, une petite collection pas très fournie dans mon inventaire de l’époque – avec quand même une belle pièce, faut reconnaître – mais qui nous a valu de sacrées heures de jeu avec mon frangin. À lui les pirates, à moi les troupes impériales, tout ça au milieu d’un joyeux fourre-tout anachronique de Castle, Space et City.