— Tu entends ça ? Les piou-piou-piou ? C’est le bruit des rayons laser au petit matin.
— Mais un laser, c’est pas de la lumière ?
— Si.
— Et depuis quand ça fait du bruit, la lumière ?
— Allons plutôt surfer.
Mad Max : garde à vue
Quand Claude Miller rencontre George Miller…
Quand Garde à vue (adapté du roman À table ! de John Wainwright) rencontre Mad Max (très teinté de Route 666 de Roger Zelazny)…
Affiche inspirée d’un lapsus du Fossoyeur de Films (j’espère que tu ne m’en voudras pas, mec), qui n’est plus un lapsus maintenant que le film existe (au moins sur Photoshop).
L’hipparque phitanien
Retour des éditions à l’ancienne avec un appendice fictif à la trilogie Phitanie de Tiphaine Croville : le Traité de cavalerie aérienne, théorie et pratique de l’art de monter les pégases par Héloïne.
Un ouvrage dans la lignée de L’Hipparque de Xénophon, tout le monde l’aura compris (en tout cas tout le monde qui a un jour mis le nez dans Xénophon).
SFFF (4) Fantasy
La fantasy est un genre enfantin, pas sérieux pour deux sous, où s’ébattent des licornes à paillettes, des elfes “petits avec de grandes oreilles” (Bill Baxter) et des kékés en robe qui exhibent leurs boules de feu.
Voilà. Je pense qu’on a fait le tour du sujet. Merci de votre attention.
SFFF (3) Fantastique
Le plastique, c’est fente astique fantastique
Des trois genres qui constituent la SFFF, le fantastique est le plus paradoxal. Genre de l’entre-deux, du doute, il a pourtant la définition la plus précise et la plus claire.
L’irruption du surnaturel dans un cadre posé comme réaliste.
La définition du fantastique fait à peu près consensus. Pour une fois. Qu’on se rassure, tout autour, c’est flou artistique et compagnie.
SFFF (2) Science-fiction
Temps XXX et science-friction
Le seul point de la science-fiction sur lequel tout le monde s’accorde, c’est la difficulté d’en établir la définition. Après, a-t-on besoin d’une définition précise comme un coucou suisse ? On s’en bat les noix avec une raquette de jokari. On le sait d’instinct, quand c’est de la SF, parce qu’on en a tous une représentation mentale, nébuleuse, certes, mais suffisante.
La science-fiction, en caricaturant à mort, c’est un récit avec de la science dedans, science qui relève de la fiction en faisant appel à des technologies qu’on ne possède pas encore.
Définition qui n’est pas du tout satisfaisante, en partie parce que le genre n’a pas uniquement vocation à imaginer les technologies du futur, et en partie parce que le genre est devenu un fourre-tout vaste, vague et varié.