Mad Max : garde à vue

Quand Claude Miller rencontre George Miller…
Quand Garde à vue (adapté du roman À table ! de John Wainwright) rencontre Mad Max (très teinté de Route 666 de Roger Zelazny)…
Affiche inspirée d’un lapsus du Fossoyeur de Films (j’espère que tu ne m’en voudras pas, mec), qui n’est plus un lapsus maintenant que le film existe (au moins sur Photoshop).

Détournement affiche film Mad Max Garde à vue par Un K à part
Lino Ventura vs Mel Gibson, ça promet !

L’hipparque phitanien

Retour des éditions à l’ancienne avec un appendice fictif à la trilogie Phitanie de Tiphaine Croville : le Traité de cavalerie aérienne, théorie et pratique de l’art de monter les pégases par Héloïne.
Un ouvrage dans la lignée de L’Hipparque de Xénophon, tout le monde l’aura compris (en tout cas tout le monde qui a un jour mis le nez dans Xénophon).

Détournement de couverture Traité de cavalerie aérienne par Un K à part

SFFF (3) Fantastique

Bianca Beauchamp Catwoman en latex

Le plastique, c’est fente astique fantastique

Des trois genres qui constituent la SFFF, le fantastique est le plus paradoxal. Genre de l’entre-deux, du doute, il a pourtant la définition la plus précise et la plus claire.
L’irruption du surnaturel dans un cadre posé comme réaliste.
La définition du fantastique fait à peu près consensus. Pour une fois. Qu’on se rassure, tout autour, c’est flou artistique et compagnie.

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SFFF (2) Science-fiction

Sexy stormtroopers

Temps XXX et science-friction

Le seul point de la science-fiction sur lequel tout le monde s’accorde, c’est la difficulté d’en établir la définition. Après, a-t-on besoin d’une définition précise comme un coucou suisse ? On s’en bat les noix avec une raquette de jokari. On le sait d’instinct, quand c’est de la SF, parce qu’on en a tous une représentation mentale, nébuleuse, certes, mais suffisante.
La science-fiction, en caricaturant à mort, c’est un récit avec de la science dedans, science qui relève de la fiction en faisant appel à des technologies qu’on ne possède pas encore.
Définition qui n’est pas du tout satisfaisante, en partie parce que le genre n’a pas uniquement vocation à imaginer les technologies du futur, et en partie parce que le genre est devenu un fourre-tout vaste, vague et varié.

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SFFF (1) Metal hurleur

SFFF, y voir plus clair… ou pas

Précision liminaire, cette série d’articles sur la SFFF n’est qu’une somme de remarques en vrac sur le thème de l’imaginaire, pas une thèse rigoureuse avec un plan carré en vingt-sept sous-parties. Des pistes de réflexion, pas de vérités absolues, je suis toujours parti du principe que l’imaginaire était un domaine mouvant et libre, pas le royaume du “il faut”, “on doit”, “c’est comme ça qu’on fait/pense/dit et pas autrement”.
(Pour dissiper toute ambiguïté, précisons aussi qu’il sera question de littérature de genre, pas de la Société française de fist-fucking.)

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