Après Roadmaster et sa voiture de l’espace, Mile 81 (Le bazar des mauvais rêves) et sa bagnole mangeuse d’hommes, on continue le circuit automobile de Stephen King avec Christine.
En voiture, Simone !
Christine
Stephen King
J’ai Lu
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Chroniques de livres, avis, critique, analyse, avec une bonne dose d’humour par-dessus. Les romans de littérature de genre (fantasy, fantastique, science-fiction, polar) se taillent la part du lion, mais j’aime aussi varier les plaisirs, les genres (Japon, histoire, politique, romance, jeunesse, vieux classiques), les formats (nouvelle, essai, BD, jeu de rôle).
Après Roadmaster et sa voiture de l’espace, Mile 81 (Le bazar des mauvais rêves) et sa bagnole mangeuse d’hommes, on continue le circuit automobile de Stephen King avec Christine.
En voiture, Simone !
Christine
Stephen King
J’ai Lu
Toire no Hanako-san
Okotsu Aigi
Yumita Publishing
Hanako est une star au Japon ! Ce fantôme hante les toilettes des écoles. Et ça, c’est pas commun !
Fées, weed & guillotines
Karim Berrouka
J’ai Lu
François Theurel, j’ai déjà eu l’occasion d’en parler sur ce blog. Enfin, lui sans être lui, puisqu’il s’agissait de son alter ego Le Fossoyeur de Films.
En version courte, le bonhomme a une chaîne YouTube sur laquelle il parle de cinéma de genre. Si le cœur vous en dit, abonnez-vous pour aider la chaîne à sortir de sa (relative) confidentialité. Vous ne le regretterez pas, le contenu est bon de chez bon.
T’as vu le plan ?
100 plans cultes (ou pas) et ce qu’ils nous apprennent sur le cinéma
François Theurel
(aka Le Fossoyeur de Films)
Tana
Il a un prénom de mobylette et un nom de roi. Il n’en est pas pour autant le fils caché de Stephen King et Harley Queen.
Mesdames et messieurs…
Harley King !
Sous vos applaudissements.
Harley King, détective de l’invisible
Là où pleurent les âmes
Patrick Mc Spare
Scrineo
J’ai acheté les deux tomes d’Olangar aux dernières Halliennales. En aveugle. Aucune idée de ce qui pouvait se raconter dans cette paire de bouquins, pas lu les quatrièmes. Rien, nib, peau de balle. Raisons rationnelles, zéro. Et même les irrationnelles, vu que je ne suis pas un acheteur compulsif… Il ne reste qu’une de ces impulsions si chères à Homère d’une main divine qui aurait guidé la mienne.
Résultat des courses après pas loin de 900 pages de lecture, j’ai été bien inspiré, Olangar est excellent, un des meilleurs titres de fantasy que j’ai pu lire, à égalité avec La compagnie noire de Glen Cook en termes de qualité.
Olangar, Bans et barricades
Clément Bouhélier
Critic