Chroniques de livres, avis, critique, analyse, avec une bonne dose d’humour par-dessus. Les romans de littérature de genre (fantasy, fantastique, science-fiction, polar) se taillent la part du lion, mais j’aime aussi varier les plaisirs, les genres (Japon, histoire, politique, romance, jeunesse, vieux classiques), les formats (nouvelle, essai, BD, jeu de rôle).
Kevin Taylor crée en 1990 le personnage de Girl, une métisse à la taille de guêpe et aux seins énormes, strip-teaseuse de son métier et passionnée de sorcellerie pendant son temps libre.
Quand le poète t’invite au voyage, Fight Club envoie bouler les tour operators. Fight Club, c’est l’histoire d’un mec, en moins drôle que quand c’est Coluche qui raconte mais aussi jubilatoire. Le narrateur n’a pas de nom. Il a une vie de merde. La même que 99% de la population. Sa vie se résume à un métaphorique ramassage de savonnettes dans une douche de prison, son quotidien l’emmerde, son taf l’emmerde. Pour soigner ses insomnies, il se retrouve à fréquenter des groupes d’entraide qui ne le concernent en rien. Plus tard il croisera Tyler Durden, qui est tout ce qu’il n’est pas, un type libre dans sa tête (comme Diego). Ensemble, ils fondent le fight club, un club de combats clandestins. On ne doit pas en parler. Motus.
Tu connaissais Donjons et Dragons ? Voici Savons et Bastons.
Je me suis retrouvé embarqué dans la lecture de Marie Béatrice par Louve. Romain Mikam cherchait des chroniqueurs pour son roman auto-édité, Louve a cité mon nom, j’ai dit pourquoi pas, Mikam a dit pourquoi pas aussi. Prêt à courir le risque de recevoir, je le cite, “une critique franche” et d’en prendre plein l’ego. La chronique qui suit est basée sur la version numérique. Connaissant le tarif d’une auto-édition, je me voyais mal amputer Mikam d’un exemplaire papier.
Dis au revoir à tes enfants, enfile ta combinaison spatiale (ou l’inverse si tu es curé), on part pour les étoiles ! Et en musique, s’il te plaît, parce que c’est du space opera.
Enfile tes patins à roulettes, tu pars pour un roller derby post apo ! N’ayant jamais été jamais été foutu de tenir sur ces engins de mort, je te suivrai en couranttrottinantmarchant chaise à porteurs.