Retour aujourd’hui sur trois modèles de mon enfance pour un article dédié à la guerre de siège sauce Lego : la catapulte des Faucons Noirs (Black Falcons Catpult n°6030 de 1984), la double catapulte des Chevaliers du Lion (Twin Arm Launcher n°6039 de 1988) et la tour de siège de cette même faction (Siege tower n°6061 de 1984).
Continuer la lecture de « Lego Castle : un peu de poliorcétique »Mois : octobre 2021
Bessie Coleman – Philip S. Hart
Trouver des ouvrages sur Bessie Coleman est une gageure. En français, une seule et unique biographie, écrite par Jacques Béal, plus éditée, vendue d’occasion (sic) vingt fois le prix du neuf par un de ces escrocs qui se disent bouquinistes et confondent ouvrage épuisé et incunable pour te proposer des livres plus chers qu’un rein au marché noir. En anglais, pas mal de références… qui s’adressent toutes à un public de 8-12 ans, soit le niveau de culture générale de l’Américain moyen, donc un peu, beaucoup, à la folie en dessous du mien. Je me suis rabattu faute de mieux sur une de ces éditions d’outre-Atlantique.
Bessie Coleman
Philip S. Hart
Lerner Classroom
Légendes des Contrées Oubliées – Bruno Chevalier & Thierry Ségur
Je vous voulais vous raconter un truc, mais je me rappelle plus quoi. En attendant que ça me revienne, on va parler des Légendes des Contrées Oubliées, bande dessinée de Bruno Chevalier (comme les preux en armure) et Thierry Ségur (comme la comtesse), duo magique déjà évoqué quand il a été question de Kroc le Bô.
Légendes des Contrées Oubliées
Bruno Chevalier & Thierry Ségur
Delcourt
Goldorak – Dorison, Bajram, Cossu, Sentenac & Guillo
À la fin du 74e et dernier épisode de Goldorak, tout était réglé. Les forces de Vega vaincues, la base de la Lune noire détruite, la Terre sauvée. The end. Actarus s’en repart sur Euphor avec Phénicia, qui balance en arrivant en vue de la planète “maintenant, nous allons tout pouvoir recommencer”. Vu ce qu’on nous avait raconté au long de la série, j’avais toujours cru Euphor calcinée de fond en comble par Vega et je me suis toujours demandé ce que Phénicia comptait recommencer. Pas repeupler la planète à deux avec Actarus, j’espère, ils sont quand même frère et sœur…
‘Fin voilà, c’était fini, terminé, bouclé.
Quarante ans plus tard dans le monde réel, dix dans celui de Grendizer, il revient, il revient pour les enfants de la Terre. Ah non, ça, c’est Albator. N’empêche qu’il repointe le bout des cornes, le Goldo, dans une suite made in France approuvée par le créateur nippon du robot géant.
Goldorak, Gō (Nagai) !
Goldorak
Xavier Dorison, Denis Bajram, Brice Cossu,
Alexis Sentenac & Yoann Guillo
Kana

La forteresse noire – F. Paul Wilson
Elle a été conquise moult fois, cette forteresse. D’abord paru aux Presses de la Cité en 1982 sous le titre Le donjon, le roman sort aussi la même année chez France Loisirs. Deux ans plus tard, on le trouve chez J’ai Lu, rebaptisé La forteresse noire par un traducteur fantaisiste, pas très au fait de l’architecture médiévale. The Keep, c’est un donjon, pas une forteresse complète, et où tu vois du black dans le titre en VO ?… Le bouquin poursuit sa route pour atterrir en 1993 en Pocket Terreur, avant d’être réédité chez Fleuve Noir dans la collection Thriller fantastique quand le catalogue change de main en 2003. Depuis il a été repris par Milady en 2009 sous une couverture qui pique les yeux.
Dans cette chronique, nous parlerons de la version Fleuve. Enfin, “nous”… C’est je qui va parler pendant que vous lisez en silence. J’entends un mot, un seul, et c’est direct un tour gratuit en catapulte pour un cours immersif de balistique en tant que projectile.
Or donc, nous quittons la Macronie de 2021 pour la Roumanie de 1941, illustrant au passage et à la perfection l’expression “tomber de Charybde en Scylla”.
La forteresse noire
F. Paul Wilson
Fleuve Noir
Festival Dune, variations sur une affiche
Ça, c’est l’affiche de Dune version Denis Villeneuve. Si le roman est bourré d’idées intelligentes (et le film aussi), mon cerveau a quant à lui la faculté de les détourner vers les plus hauts sommets du débile.
J’ai pris l’affiche. J’ai effacé le texte. Reconstruit les bouts manquants. Trouvé la police de caractères du titre. Bidouillé un effet sur lettrage. À partir de là, tout était possible. N’importe quel titre alternatif.
Prêt pour le festival ?
Accrochez-vous à vos bretelles !