Le franponais (フランポネ) n’est pas le petit cheval de Charlemagne (un franc poney, donc). Il s’agit d’utilisation en japonais de mots français, souvent pour faire stylé en jouant sur l’exotisme et le prestige d’une France vue comme une patrie d’esthètes amateurs de champagne et de haute couture (alors qu’en vrai on est des beaufs crados qui jouent à la pétanque en buvant de la Kro).
C’est un peu comme l’anglais en France, ça fait “cool” d’en mettre – en tout cas, ça l’était après la Seconde Guerre mondiale et jusque dans les années 60-70, maintenant c’est juste un gimmick absurde.
Sauf que voilà, l’utilisation à la ouanegaine de termes pas toujours bien compris ni bien orthographiés donnent un grand n’importe quoi, du franglais de Jean-Claude Van Damme ou des managers de start-up au franponais du Pays du Soleil Levant.
Un homme qui dort – Georges Perec
Un homme qui dort
Georges Perec
Folio
Un homme qui dort ou les méditations d’un solitaire, qui se détache de tout jusqu’à n’avoir plus goût à rien, dans un voyage intérieur vers l’indifférence absolue.
Continuer la lecture de « Un homme qui dort – Georges Perec »Absolument dé-bor-dée ! – Zoé Shepard
Absolument dé-bor-dée !
Zoé Shepard
Points
Ni fait ni à faire, Absolument dé-bor-dée ! est marrant deux minutes à tout casser.
Continuer la lecture de « Absolument dé-bor-dée ! – Zoé Shepard »Le robot de Spider-Man
Ce petit mécha ne m’aura pas bien coûté bien. Sur une brocante, j’ai raflé pour 20 balles une pleine caissette de briques en vrac avec quelques livrets d’instruction en prime. Dans le lot, la notice du “robot de Spider-Man” (Lego s’est foulé sur le nom du set, y a pas à dire).
Monghol et Ghota – Olivier Bédué
Entre deux relectures de Kroc le Bô et Lorette & Harpye, on continue le voyage au pays de la nostalgie et des petites BD humoristiques parues dans les magazines de jeux de rôle.
Monghol & Ghota
Olivier Bédué
Black Book
Critiques express (34) Sitôt lus, sitôt oubliés
Y a des bouquins qui marquent, d’autres qui se démarquent. Pis y en a aussi qui ressemblent à des ardoises magiques. Tu les lis, tu secoues un peu et il n’en reste rien, limite si tu te rappelles le titre. Parfois, t’es même plus sûr de les avoir lus, c’est dire s’ils sont dispensables.
Au menu :
– La cathédrale de haine (Guy des Cars)
– Les apparences (Gillian Flynn)
– Si je te retrouvais (Nora Roberts)
– Mako (Laurent Guillaume)
– Pavillon 38 (Régis Descott)