Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Avant, ça s’appelait Temps fort de C. J. Cherryh ou Heavy Times en américain. Quand j’ai vu la couv’, je me suis dit qu’il faudrait trouver un autre titre, plus adapté à ce qu’on voit, tout en gardant l’idée de temps et de lourdeur.
Time Raider
James LeMay
Dynamite
Bianca Barros partage avec Lara Croft son métier d’archéologue et son physique de jeune femme athlétique étudiant les vestiges antiques tresse au vent. Dans le cas de Bianca, elle bosse aussi les fesses à l’air. J’ai dû rater le TD sur le dress code quand je suivais des cours d’archéo à la fac, parce que je ne me souviens pas que mes profs aient fait mention de fouilles naturistes.
Bref, dans ce comics, James LeMay livre une parodie de Tomb Raider doublée d’un porn-monster, puisque l’héroïne va se taper tout un tas de créatures improbables au cours de ses aventures.
Au menu de cet épisode, la salle de musique, qui vient boucler le corps de bâtiment principal de la Batcave. C’est donc un tournant dans l’histoire de ce chantier, puisque si je n’avais pas étendu la construction au rythme de ma folie des grandeurs, elle serait aujourd’hui terminée avec l’arrivée de cette ultime pièce.
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La Musardine
Première fois que je mets le nez – enfin, quand je dis le nez… – dans la collection “Osez 20 histoires” de La Musardine, via un bouquin offert à je ne sais plus quelle occasion, sans doute un cadeau lors d’une commande sur le site de l’éditeur.
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Avant, ça s’appelait Le Styx coule à l’envers et c’était de Dan Simmons.
Plus maintenant.
Deux films pour le prix d’un : On l’appelle Trinita et On continue à l’appeler Trinita, réalisés coup sur coup par Enzo Barboni en 1970 et 1971.
Attention, c’est gras et ça tache.
