– Tu as fait quoi de ton week-end ?
– J’ai profité qu’il faisait beau pour aller me balader. Et toi ?
– J’ai conçu un exosquelette de pour Batman.
– Tu es un grand malade.
– En vérité…………………. je suis Tony Stark.
Les Halliennales pour tout le monde
Qui ne connaît pas la fameuse collection “pour les nuls” ? Le salon des Halliennales, c’est pareil mais en mieux : pour tout le monde.
Raison pour laquelle le blog a choisi d’y poser ses valises en embarquant trois auteurs dans l’aventure.
Si vous n’avez rien prévu le samedi 5 octobre 2019, venez nombreux aux Halliennales rencontrer Olivia Lapilus, Tiphaine Croville et Stéphane Melin sur le stand Un K à part !
Et si vous avez déjà planifié quelque chose d’autre, vous avez encore le temps de modifier vos projets pour venir quand même au festival de l’imaginaire d’Hallennes-lez-Haubourdin.
Cadavre exquis : le chemin boueux
Je vois souvent passer sur Instagram des piles de bouquins dont les titres forment des cadavres exquis. L’idée est amusante… quoique répétitive à raison de cinquante par semaine. Drame de la lassitude liée aux effets de mode…
Plutôt qu’un énième macchabée délicieux à enchaîner des titres pour former des phrases plus ou moins approximatives, plus ou moins inspirées, je me suis dit “tiens, et si je racontais une histoire où chaque titre renverrait à une scène, une image, une action ?”.
Mon appétence pour la gaudriole étant connu, personne ne sera étonné d’apprendre que l’idée a très vite pris un chemin scabreux.
Olangar : bans, barricades et Lego
Il y a eu la vie quotidienne du petit peuple dans ma bibliothèque, les aventures de la 7ème compagnie impériale. Bientôt, il y aura une tripotée d’auteurs et de personnages de romans convertis en Lego.
En attendant, voici un diorama inspiré par le roman Olangar, Bans et barricades de Clément Bouhélier. La grande attaque du train d’or ! Sans or, parce que c’est la crise, ma bonne dame.
Vendetta chez les Chtis – Elena Piacentini
Vendetta chez les Chtis
Leoni, tome 3
Elena Piacentini
Ravet-Anceau
Pliez les gaules si chères à Jules César et Marc Dorcel, remballez armures, flamberges et palefrois, la quête du Graal appartient au passé. Finie, terminée, au revoir.
Le Graal, c’est ce bouquin. J’en entends crier au fake comme quoi il n’y aurait pas de sang du Christ dessus. Mollo les basses. Depuis le temps, il a séché, le jus divin, évaporé dans l’éther. Et pour ceux qui tiennent à ce qu’il y ait du sang, si vous insistez, ça peut s’arranger. Amenez vos témoins demain à l’aube, le différend se règlera entre gentlemen, à l’ancienne, en champ clos. Et à la masse d’armes.
Or donc, le Graal. Les Piacentini époque Ravet (Un Corse à Lille et Art brut), j’ai les versions rééditées chez Au-delà du raisonnable. Les suivants (comme Carrières noires), je les possède en Pocket. Entre les deux, Vendetta chez les Chtis, un trou, introuvable. Les versions “d’occasion” à 90€ chez les vampires partenaires d’Amazon, merci bien. Au moins, la visite de la volière en ligne et de son pavillon aux rapaces ne coûte rien. M’enfin en attendant, pas de bouquin. Chou blanc à écumer les bouquinistes et les internets pendant des mois. Ma quête sentait le sapin, bonjour le mélange olfactif pinède-choucroute.
Par chance, une pléiade de gentilles fées veillent sur ma pomme. L’une d’elle a fini par remonter du fin fond des tréfonds de son sac à malices un exemplaire coincé entre son générateur d’arcs-en-ciel et son appeau à licornes. Elle me l’a offert, grâce lui soit rendue !
Trois ans à part
Troisième anniversaire pour le blog ! Il s’en est passé depuis l’an dernier !
Avant de faire sauter les bouchons et de se démonter la tête au pétillant, profitons d’avoir l’esprit encore clair pour un petit bilan des familles.