Que serait l’imaginaire sans sa foultitude de bestioles et de monstres ? Bonne question, merci de l’avoir posée. Ceux qui veulent y répondre, prenez une feuille et suivez les consignes habituelles (4 heures, calculatrice interdite, tout ça, tout ça). Les autres, venez avec moi, on va plonger dans deux bouquins qui m’ont été offerts aux dernières Halliennales, à savoir Créatures (anthologie Imaginales 2018) et Grand Méchant Loup.com (Maxime Gillio & Wonder Jane). Pour arriver à un rythme ternaire que je préfère au binaire, j’ajoute au paquetage une autre anthologie des Imaginales, celle de 2015, Trolls & Licornes. Et tant qu’à être dans l’ère quaternaire, on rajoute une petite couche avec Les dragons de Karl Shuker et ça nous fait quatre à la suite (coucou Julien Lepers).
Catégorie : Critiques express
Des bouquins sur lesquels je n’ai pas grand-chose à dire, mais je le dis quand même.
Critiques express (18) Noir corsé
À Delphine et Athina,
j’aurais dû prendre nécromancie LV2…
L’heure étant à l’évocation des macchabées, un petit mot sur deux romans avec du noir dedans : Retours amers de Fabrice Pichon et Art brut d’Elena Piacentini.
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Après Rouge Toxic (Morgane Caussarieu) et Rouille (Floriane Soulas), on continue sur les lectures Halliennales avec L’espoir sous nos semelles (Aurore Gomez) et Le talisman perdu (Marie Caillet).
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On m’avait dit “lis Esparbec, tu verras, c’est bien”. Je suis venu, j’ai lu, je n’ai pas du tout été emballé (dans le cul).
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Le cul, c’est un art. Et une loterie : on ne gagne pas à tous les coups qu’on tire. Florilège de titres moyens du label Media 1000 (La Musardine), qui traînent dans ma bibliothèque, de ces récits pornographiques écrits au kilomètre par des gens qui devraient apprendre à tailler leur plume…
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Noël est passé.
C’était un communiqué de Captain Obvious.
Des tas de gus grimés en papa Noël rangent leur costume jusqu’à l’année prochaine. Enfin ça, c’est ce qu’on essaie de nous faire croire. Le bobard ne prend pas, chacun sait qu’il n’existe qu’UN père Noël. Les autres, des imitateurs peu inspirés qui ne trompent personne.
Si tu te demandes ce que le gros rougeaud glande 364 jours par an, je vais te le dire. Attaché à son job comme un député à ses privilèges, il élimine la concurrence. Pas très esprit de Noël, mais le père Noël est une ordure, je ne t’apprends rien. Traquer un par un les copieurs, leur savater la tronche à coups de canne en sucre XXL et à la fin, il ne peut en rester qu’un.
Pour te préserver de l’ire vengeresse du vilain barbu, voici une paire de bouquins à potasser : Le sabre japonais (Gregory Irvine) et Kendo, la voie du sabre (Pierre Delorme). Si tu en veux encore, tu peux compléter avec Le sabre des Takeda d’Inoue Yasushi et les ouvrages sur Miyamoto Musashi.
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