Mon plat à tarte et ma galette des rois en avaient marqué plus d’un(e) pendant les Halliennales 2018.
L’Épiphanie 2019 marque le retour du roi de la galette, l’Aragorn de la pâtisserie !
Des années à chercher la recette secrète parmi les tombeaux de l’Égypte antique jusqu’à tomber sur la pyramide du pharaon Paricilagaleth…
… une formation intensive auprès des moines shaolin du temple d’Épi Fahn Hi…
… la fondation du Frangipane Club, dont la première règle est de ne pas parler du Frangipane Club (et encore moins de galettes à la pomme et autres fantaisies hérétiques)…
… une quête épique aux quatre coins du globe (géométrie non euclidienne qui ferait plaisir à Lovecraft) et au fin fond de la Terre creuse pour rassembler les ingrédients…
Et voilà le travail ! Bon appétit !
Catégorie : Cabinet de curiosités
Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Cold Prey – La trilogie
La jaquette du navrant Dagmar, l’âme des Vikings mentionnait que les coupables n’en étaient pas à leur coup d’essai. Et c’est vrai. Avant, il y eut la trilogie Cold Prey, qui voit ressortir trois noms aux mêmes postes. Roar Uthaug a réalisé le premier opus, produit le 2, synopsisé le 1 et le 2, avant de jeter l’éponge pour le 3. Thomas Moldestad a scénarisé les deux premiers volumes. Martin Sundland a produit les trois volets coldpreyiens. En outre, Dagmar (Ingrid Bolsø Berdal dans le civil) a joué dans les deux premiers.
Fallait que je vérifie, je me suis tapé les trois. Les films, j’entends, pas le trio réalisateur-scénariste-producteur.
Mais pourquoi ? Il est y pas maso ? Ma curiosité scientifique me perdra…
Je n’ai pas été déçu du voyage…
Bye bye 2018
2018 s’achève. J’avais pris de l’avance pour dresser le bilan de l’année écoulée, je ne vais donc pas revenir dessus.
2019 s’annonce comme une année charnière pour le blog grâce à l’opération Savonnette. Tous les détails à venir courant janvier…
Collectible Minifigures Lego
En 2010, Lego lançait sa première série de Collectible Minifigures (figurines à collectionner en VF). Une décennie et quelques plus tard, quarante panoplies sont déjà sorties, soit pas loin de 500 figurines. Scoop qui n’en est pas un : je ne les ai pas toutes (et je ne compte pas les avoir toutes).
L’intérêt intrinsèque de chaque série est très variable et les thématiques nombreuses (random, Simpsons, Batman, Harry Potter, Muppets, Disney, les différents films Lego…). Sur le même principe que les vignettes Panini de mon enfance, les figs sont vendues en sachet, sans qu’on sache ce qu’il contient. Je n’en achète donc jamais sous leur forme d’origine, ayant horreur 1) de dépenser du pognon au pifomètre, 2) de prendre le risque de ne pas tomber sur les personnages qui m’intéressent et d’avoir en triple exemplaire ceux dont je n’ai rien à foutre, et 3) du procédé, qui est conçu pour te faire dépenser un max si tu veux la série complète (avec à l’arrivée pas mal de doublons, vu que les figurines d’une série ont des fréquences différentes).
J’en ai quand même quelques-unes, que je récupère ici et là via Bricklink, eBay, la Chine, les brocantes et solderies.
Vous reprendrez bien un sushi ?
J’ai commencé à sortir ma bibliographie sur le Japon pour dresser l’inventaire. Il a fallu arrêter en cours de route, la planche du bureau commençait à plier sous le poids des bouquins…
Dans tout ce bazar, je conseille comme incontournables :
– Natsume Sōseki : Le pauvre cœur des hommes
– Mishima Yukio : Confessions d’un masque
– Maurice Pinguet : La mort volontaire au Japon
– Ruth Benedict : Le chrysanthème et le sabre
Chroniqués sur le blog, vous pouvez aussi jeter un œil sur Yakuza (Alec Dubro et David Kaplan), Ring (Suzuki Kōji), La pierre et le sabre et La parfaite lumière (Yoshikawa Eiji), Le sabre des Takeda (Inoue Yasushi), Le sabre japonais (Gregory Irvine), Geisha (Arthur Golden), Ma vie de geisha (Iwasaki Mineko), Mémoires d’une geisha (Inoue Yuki) et L’Abécédaire du Japon (Moriyama Takashi).
Vorace – Antonia Bird
Les fêtes de fin d’année sont synonymes de neige et d’orgies de bouffe, le moment idéal pour une chronique de Vorace (Ravenous en VO), western d’horreur sorti en 1999 et réalisé par Antonia Bird sur un scénario de Ted Griffin.