Le duo Marcus Dunstan et Patrick Melton s’en était plutôt bien sortis sur le scénario de Feast, un sympathique petit film d’horreur. La vérité, c’est qu’ils ont cramé toutes leurs idées potables sur Feast et pondu de la daube le reste du temps. Quand ils se mettent ensemble pour écrire un scénar et qu’en plus Dunstan se colle à la réa, ça donne The Collector et sa suite The Collection, deux étrons lamentables.
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Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Où est passée la 7e compagnie impériale ?
J’adore croiser les effluves ! Alors pourquoi pas le choc des trilogies ? Rencontre improbable entre La 7ème compagnie et Star Wars, le tout en Lego.
Voici une grande aventure qui utilise la technique du stop-no-motion inventée par le réalisateur Stéphane Jeumont. C’est comme du stop-motion, moins l’animation – un procédé qu’on appelle aussi “photographie”.
Feast – John Gulager
À l’origine de Feast, Project Greenlight, une émission quelque part entre le documentaire et la télé-réalité, dont le but était de permettre à des débutants de monter leur premier film avec l’appui de gars chevronnés. La saison 3, autour de Ben Affleck, Matt Damon et Wes Craven, a pour lauréats John Gulager (réalisation), Marcus Dunstan et Patrick Melton (scénaristes), qui accouchent de ce fameux de Feast sans lien de parenté avec celui de la Fistinière.
Continuer la lecture de « Feast – John Gulager »American Nightmare – James DeMonaco
American Nightmare de son titre “français” s’intitule en VO The Purge. À juste titre. Parce que c’en est une belle de purge.
Continuer la lecture de « American Nightmare – James DeMonaco »Gamme Lego collector
Au train où ça va, je vais finir par lancer ma propre gamme de figurines Lego dérivées de bouquins et d’événements littéraires.
Ma collec’ Lego Ninjago
Comme pour les gammes Chima et Harry Potter, parler de “collection” est un petit peu ambitieux avec une poignée de références en stock, ce qui a au moins le mérite d’aller vite à compter sans donner le tournis.
Dans cette gamme, on croise le pire comme le meilleur, les sets valables côtoient les plus dispensables. La faute à un concept fourre-tout qui ratisse trop large pour afficher une unité thématique qui tienne debout. Pourtant, j’adore le mélange des genres, mais là, ça fait trop. Ninjas et samouraïs, dragons chinois et méchas japonais, pagodes… Rien que sur les inspirations asiatiques, les constructions oscillent entre la SF et la fantasy, parfois ni l’une ni l’autre pour les sets “architecturaux” qui ressemblent davantage à du City ambiance Extrême-Orient. Là-dessus, ajoute côté méchants du steampunk et du post-apo (genre le Dieselnaut 70654) et tu te retrouves avec une gamme attrape-tout dont les différents éléments ne se marient pas toujours très bien.
Cela dit, je garde un œil sur la gamme, dont les nombreux robots de combat, à commencer par ceux dans les teintes rouges, peuvent fournir une bonne base de départ à du MOC Warhammer 40K Blood Angels.