Que seraient les membres de l’Agence Tous Risques sans leur camion ?
Des piétons.
Catégorie : Briques et bricolage
Parce qu’il n’y a pas que la lecture dans la vie, je me livre à d’autres passe-temps comme la cuisine, le bricolage et surtout les petites briques Lego.
Junkers Ju 87 B-2 (Cobi)
S’il n’a pas été le seul bombardier en piqué employé par la Luftwaffe lors de la Seconde Guerre mondiale, le Ju 87 est le plus connu, tant par son emploi massif que par la silhouette caractéristique de ses ailes en W, au point d’être considéré comme LE Stuka et d’éclipser tous les autres appareils ayant assuré le même rôle.
On va se pencher sur la version en briques sortie par Cobi et voir ce que l’engin a sous le capot.
Étoile Noire Pokeball
En 2023, à l’occasion des quarante ans du Retour du Jedi, Lego avait sorti une mini Étoile Noire intitulée “Death Star II” (réf. 40591) succédant à la version UCS 10145 de 2005 et au set 75159 de 2016. Vous allez me dire qu’un troisième modèle, on l’aurait plutôt vu avec le numéro III. Alors oui et non. Ici, le chiffre ne renvoie pas à la place du set dans les sorties Lego sur le sujet mais à la deuxième Étoile de la Mort, celle du Retour du Jedi, la première ayant été pétée par ce brise-fer de Luke à la fin d’Un nouvel espoir. De toute façon, Star Wars et l’ordre des chiffres n’ont jamais fait bon ménage depuis les débuts de la saga, inaugurée par l’épisode IV.
Sturmgeschütz IV (Cobi)
Jusqu’ici, j’avais plutôt été satisfait de mes achats Cobi. Aujourd’hui, un petit peu moins, le Sturmgeschütz IV (réf. 2576) est bien, mais…
L’éternel “mais” qui fâche.
Un MOC qui troue le cul
Une célèbre citation dit qu’on peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus. Avec des Lego, on peut vraiment TOUT faire.
Comme passer des mois sur un projet dantesque de plusieurs milliers de pièces pour un résultat à tomber par terre.
Ou, en cinq minutes et avec sept briques, réaliser un MOC tout simple, qui troue le cul aussi, mais pas de la même façon.
Panzer VI Tigre (Cobi)
Char iconique de la Seconde Guerre mondiale, même s’il n’en mérite pas tant, le Tigre a connu chez Cobi un paquet d’éditions dans à peu près toutes les couleurs possibles, du sable de l’Afrique au blanc neigeux du front russe, en passant par les bariolages à base de brun, kaki et vert pour être à la mode en demi-saison ou frimer l’été venu dans le bocage normand. Je l’ai en noir, enfin gris très, très foncé presque noir, dunkelgrau comme disent les Teutons.