De gauche à droite, Olivia Lapilus, Stéphane Melin et Tiphaine Croville, sous le regard bienveillant de Fred K, perché sur son mirador (j’ai emprunté sa tour sombre à Stephen King). Samedi 5 octobre 2019, venez nombreux à Hallennes-lez-Haubourdin les rencontrer en chair et en os !
Pour ceux qui n’auraient pas suivi l’actualité de la semaine, signalons que la page Facebook des Halliennales a dévoilé il y a une paire de jours l’affiche du festival, signée Nicolas Jamonneau. Pour ceux qui n’ont rien suivi du tout ces derniers mois, on connaissait déjà depuis belle lurette le lieu (Hallennes-lez-Haubourdin), la date (5 octobre 2019), la marraine (Christelle Dabos) et le thème (l’Eldorado). Le grand chelem est désormais complet. Ne manque plus que la liste des auteurs et exposants (un détail, donc).
Après avoir mis la tête de Dark Vador sur le corps de Batman dans The Wrong Dark Knight Rises, démarche inverse en ajoutant de la chauve-souris sur l’asthmatique le plus célèbre du cinéma. Trois petites retouches sur le casque, le plastron, la ceinture et hop !
Et tant qu’à changer de film notre cher Darkie, je l’ai aussi catapulté dans Les tontons flingueurs. Vador Volfoni rêve d’éparpiller Lino Skywalker aux quatre coins de Tatooine façon puzzle.
Après Tony Stark, les X-Men, le désert, la mer de nuages et Gandalf, voici donc, enfin, le vrai bruit de la vraie eau. Un comble quand on sait à quel point je déteste la flotte et encore plus le bruit. Celui-ci, de barouf aquatique, fera figure d’exception. C’est du bon et même mieux que ça. Mon compteur de lecture affiche treize bouquins de Sophie Jomain. Je connais son écriture, je l’ai vue évoluer, je l’ai décortiquée pour mes chroniques. C’est en connaissance de cause que je peux affirmer haut et fort que ET TU ENTENDRAS LE BRUIT DE L’EAU EST SON MEILLEUR ROMAN (j’avais prévenu : haut et FORT – on m’appelle monsieur Littéral, maintenant tu sais pourquoi).
Et tu entendras le bruit de l’eau Sophie Jomain HarperCollins / Harlequin
Quatre bouquins étaient prévus au programme de cette chronique. Catwoman aura bénéficié d’un traitement particulier, vu que la miss est un cas à part, pour ne pas dire une K à part. Reste un trio de livres pleins d’images, avec pour dénominateurs communs le cinématographe et la guerre : – Vétérans Dunkerque / Dunkirk 1940 (Dahou et Ludovic Bertin) – Sur la route de La Grande Vadrouille (Vincent Chapeau) – le comics Skywalker passe à l’attaque
J’adore croiser les effluves ! Alors pourquoi pas le choc des trilogies ? Rencontre improbable entre La 7ème compagnie et Star Wars, le tout en Lego. Voici une grande aventure qui utilise la technique du stop-no-motion inventée par le réalisateur Stéphane Jeumont. C’est comme du stop-motion, moins l’animation – un procédé qu’on appelle aussi “photographie”.