L’espoir
André Malraux
Folio
Autre moitié du binôme infernal espagnol de mes jeunes années d’étudiant, L’espoir ne m’aura pas plus emballé que Les grands cimetières sous la lune. Rimant avec rasoir, ce bouquin m’aura barbé tout du long, sans jamais parvenir à m’intéresser à ce qu’il raconte, désespérant d’ennui.