Un tremblement de terre… un brouillard jaunâtre… et c’est parti pour la version littérale de l’avertissement qu’on trouve sur les paquets de clopes : fumer tue ! Celle-ci, de fumée, elle ne rigole pas. Ceux qui la respirent perdent tout sens commun et deviennent des fous furieux assoiffés de violence, qui n’ont de cesse de trucider leur prochain.
Je ne veux pas savoir quel genre de recherches vous faites sur le Net pour atterrir sur des photos de chat en train de se lécher les noix, toujours est-il que plusieurs lecteurs du blog ont porté à mon attention une construction en briques de marque non identifiée représentant la chose (et c’est à moi qu’on dit “monsieur, vous avez un trouble du comportement”…). Ma curiosité piquée, je me suis demandé si je pouvais faire la même chose (en Lego, pas en vrai, je ne suis pas assez souple).
Dialogues de M. le baron de Lahontan et d’un sauvage dans l’Amérique Louis-Armand de Lahontan Desjonquères
Ouvrage dont le titre varie d’un éditeur l’autre selon que soit privilégiée la version courte ou la version longue de l’intitulé, Dialogues avec un sauvage de Lahontan est sans doute le meilleur bouquin sur le sujet du “bon sauvage”.
Un mecha, encore un. De Ninjago où il fait écho à l’armada de robots issus des mangas et animés nippons à Star Wars où il vient renouveler le cheptel d’engins histoire de changer des éternels AT-AT et X-Wing, le concept est exploité jusqu’à la corde par Lego. Les univers DC et Marvel n’y échappent pas.
Un titre pareil, on s’attend à un bouquin qui va frapper fort et rester dans les annales. Perdu, il ne s’agit que d’un oubliable coup des pets dans l’eau.
De 1992 à 1995, en 2 saisons pour un total de 85 épisodes de 22 minutes (chacun, pas l’ensemble mis bout à bout), Batman: The Animated Series, connue aussi sous le nom de Batman TAS, BTAS, Batman, la série animée ou encore Les Aventures de Batman et Robin, aura fait date, tant par la qualité de son contenu que par son poids sur l’univers du Chevalier noir. On lui doit des répliques fameuses comme “je suis la vengeance, je suis la nuit, je suis Batman”, l’étoffement de plusieurs protagonistes comme Double-Face et Mr Freeeze et l’apparition de l’iconique Harley Quinn. La Batmobile était bien sûr de la partie, très caractéristique avec son design hyper épuré d’interminable suppositoire sur roues. C’est elle que Lego a choisie pour un de ses rares sets sur l’univers de la série d’animation (à savoir deux, en comptant celui-ci). La boîte s’intitule “Batman avec la Batmobile contre Harley Quinn et Mr. Freeze”, un nom dont on ne voit pas le bout qui a le mérite d’être complet à défaut de la concision.