Route 666
Roger Zelazny
Hélios (Mnémos)
Un titre pareil fleure bon l’horreur satanique à deux ronds cinquante. C’est déjà mieux que la première édition française de 1974, Les culbuteurs de l’enfer, qui, elle, sentait la nique tout court.
Perdu (ou dommage, c’est selon), ni épouvante ni classé XXX. Mister Z nous embarque dans du post-apo “à la Mad Max”. Guillemets de rigueur, Route 666 est sorti dix ans avant que Mel Gibson ne taille la route à l’écran.