L’ère du Levant
Anne Frémaux
Rroyzz Éditions
Un space opera qui ne m’a pas emballé du tout, la partition ayant déjà été jouée par de bien meilleurs musiciens.
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
L’ère du Levant
Anne Frémaux
Rroyzz Éditions
Un space opera qui ne m’a pas emballé du tout, la partition ayant déjà été jouée par de bien meilleurs musiciens.
Journal d’un marchand de rêves
Anthelme Hauchecorne
L’Atelier Mosésu
Journal d’un marchand de rêves inaugure la collection Pepper de l’Atelier Mosésu. Un éditeur qui m’a habitué à du bon, une dir’ coll’ pas manchote en la personne de Sophie Jomain, un Anthelme Hauchecorne qui cumule les bonnes critiques sur ses autres bouquins. On est en droit d’attendre du lourd.
Continuer la lecture de « Journal d’un marchand de rêves – Anthelme Hauchecorne »On inaugure aujourd’hui une nouvelle rubrique du blog, les critiques express. J’y parlerai en bloc de livres sur lesquels je n’ai pas grand-chose à dire.
Au menu du jour :
– Anthologie de la littérature latine (Yves Avril)
– Anthologie de la peur (Éric Jourdan)
– le recueil Derniers retranchements (Hervé Le Corre)
Écriture, Mémoires d’un métier
Stephen King
Le Livre de Poche
Vie de merde
Guillaume Passaglia & Maxime Valette ; ill. Pénélope Bagieu
Privé
Un de ces bouquins génériques que vous refilent les gens à court d’idées (ou qui vous détestent), l’équivalent papier des pulls moches de mamie.
On me l’a offert à je ne sais plus quel Noël. Je viens de le lire. Une raison de plus pour détester Noël.
Aujourd’hui, je croyais que j’allais bien rigoler avec Vie de merde. J’ai souri trois fois en 280 pages et perdu deux heures de ma vie. VDM
Continuer la lecture de « Vie de merde »Le sous-marin des ténèbres
Robert McCammon
Lefrancq
Le soleil des Caraïbes, l’île de Coquina avec son nom de super-héroïne classée X, du vaudou, des zombis nazis, un titre avec “des ténèbres” dedans… on dirait des critères de recherche sur Nanarland.