J’avais acheté Créature du miroir aux Halliennales. Après lecture, ce bouquin confirme une grande loi de l’univers : s’il n’y a pas de bon young adult, il existe d’excellents romans jeunesse.
Créature du miroir
Jess Kaan
Éditions Les lucioles
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
J’avais acheté Créature du miroir aux Halliennales. Après lecture, ce bouquin confirme une grande loi de l’univers : s’il n’y a pas de bon young adult, il existe d’excellents romans jeunesse.
Créature du miroir
Jess Kaan
Éditions Les lucioles
Après la clôture du Noël des auteurs, je continue à solder les comptes en attaquant le dernier volet du triptyque consacré aux éditions Lune écarlate. Ce qui ne veut pas dire que je ne chroniquerai pas d’autres bouquins de cette maison à l’occasion (la preuve avec Infemmes et Sangsuelles), juste que j’en avais annoncé trois et que j’aime bien boucler ce que j’entame. Celui-ci, je le gardais sous le coude pour une raison évidente liée au calendrier.
Noël écarlate
Lune écarlate
Ici s’achève le Noël des auteurs avec cette chronique de Marc Falvo, auteur de Série B. This is the end, comme dit la chanson, et va falloir que je me remette au turbin. En attendant, Roméo va nous conter l’histoire de Juliette.
Continuer la lecture de « Noël d’auteur : Marc Falvo »Avant-dernière chronique du Noël des auteurs, confiée aux bons soins de Ludovic Bertin, auteur de La lettre de Dunkerque. Je le soupçonne d’avoir choisi un titre unique au lieu du duo autorisé pour m’éviter de glisser qu’il faisait d’une pierre deux coups, Bertin. C’est raté.
Quelque part entre The Voice et citius, altius, fortius, le gars Bertin nous embarque septentrionalissimus.
Pour l’antépénultième chronique du Noël des auteurs, je laisse la place à David Coulon. Un peu gonflé de ma part, puisque je ne l’ai pas chroniqué et même jamais lu. Une faute que je compte bien réparer après Noël pour écluser les cartes cadeaux qui ne manqueront pas de pleuvoir.
Note que c’était un peu le but de l’opération : faire découvrir des auteurs et des œuvres, intervenants inclus. A travers ses conseils de lecture et sa propre biblio, on a pas mal de points communs en littérature (critique sociale, humour noir, trash). Le village des ténèbres rejoindra donc sous peu ma “modeste” bibliothèque.
L’invité du jour pour le Noël des auteurs est Stanislas Petrosky – des fois que le titre en police taille 172 t’ait échappé – dont j’ai parlé là, là et là (tralala). Figure récurrente aussi chauve que Monsieur Propre, il va nous parler de…
Continuer la lecture de « Noël d’auteur : Stanislas Petrosky »