Toire no Hanako-san
Okotsu Aigi
Yumita Publishing
Hanako est une star au Japon ! Ce fantôme hante les toilettes des écoles. Et ça, c’est pas commun !
Continuer la lecture de « Toire no Hanako-san – Okotsu Aigi »Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
Toire no Hanako-san
Okotsu Aigi
Yumita Publishing
Hanako est une star au Japon ! Ce fantôme hante les toilettes des écoles. Et ça, c’est pas commun !
Continuer la lecture de « Toire no Hanako-san – Okotsu Aigi »Fées, weed & guillotines
Karim Berrouka
J’ai Lu
À Delphine et Athina,
j’aurais dû prendre nécromancie LV2…
L’heure étant à l’évocation des macchabées, un petit mot sur deux romans avec du noir dedans : Retours amers de Fabrice Pichon et Art brut d’Elena Piacentini.
Continuer la lecture de « Critiques express (18) Noir corsé »François Theurel, j’ai déjà eu l’occasion d’en parler sur ce blog. Enfin, lui sans être lui, puisqu’il s’agissait de son alter ego Le Fossoyeur de Films.
En version courte, le bonhomme a une chaîne YouTube sur laquelle il parle de cinéma de genre. Si le cœur vous en dit, abonnez-vous pour aider la chaîne à sortir de sa (relative) confidentialité. Vous ne le regretterez pas, le contenu est bon de chez bon.
T’as vu le plan ?
100 plans cultes (ou pas) et ce qu’ils nous apprennent sur le cinéma
François Theurel
(aka Le Fossoyeur de Films)
Tana
Il a un prénom de mobylette et un nom de roi. Il n’en est pas pour autant le fils caché de Stephen King et Harley Queen.
Mesdames et messieurs…
Harley King !
Sous vos applaudissements.
Harley King, détective de l’invisible
Là où pleurent les âmes
Patrick Mc Spare
Scrineo
J’ai acheté les deux tomes d’Olangar aux dernières Halliennales. En aveugle. Aucune idée de ce qui pouvait se raconter dans cette paire de bouquins, pas lu les quatrièmes. Rien, nib, peau de balle. Raisons rationnelles, zéro. Et même les irrationnelles, vu que je ne suis pas un acheteur compulsif… Il ne reste qu’une de ces impulsions si chères à Homère d’une main divine qui aurait guidé la mienne.
Résultat des courses après pas loin de 900 pages de lecture, j’ai été bien inspiré, Olangar est excellent, un des meilleurs titres de fantasy que j’ai pu lire, à égalité avec La compagnie noire de Glen Cook en termes de qualité.
Olangar, Bans et barricades
Clément Bouhélier
Critic