
Bretteurs stipendiés et tataneurs de l’ombre au programme du jour. Cinq auteurs, donc, puisque Les Sept Mercenaires, c’était déjà pris.
Continuer la lecture de « Lectures de vacances (4) »Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
Bretteurs stipendiés et tataneurs de l’ombre au programme du jour. Cinq auteurs, donc, puisque Les Sept Mercenaires, c’était déjà pris.
Continuer la lecture de « Lectures de vacances (4) »Troisième opus consacré aux gros machins encombrants – et je ne parle pas des auteurs mais de leurs œuvres.
Continuer la lecture de « Lectures de vacances (3) »Deuxième volet des lectures de vacances, avec une sélection un peu plus légère que la précédente.
Continuer la lecture de « Lectures de vacances (2) »Option 1 : tu es en vacances et tu es parti à la mer t’agglutiner avec des millions de glandus. De longues et ennuyeuses journées en perspective depuis que tu as compris – trop tard – qu’on faisait vite le tour de la question “bronzette sur la plage”.
Option 2 : tu es en vacances mais trop fauché pour partir. Finances éreintées par cinq ans de sarkozysme et autant de hollandisme… Tu pourrais occuper ton temps libre à vanter les mérites du macronisme, mais tu as compris que tu ferais vite le tour de la question vu qu’il n’y a rien à vanter.
Option 3 : tu n’es pas en vacances et tu estimes à juste titre qu’il n’y a pas de raison que tu trimes pendant que les autres glandent. Sauf qu’une journée au taf à se tourner les pouces, c’est long. Tu as bien pensé amener un jokari, mais dans le genre discret…
En clair, tu t’ennuies, tu rêves d’évasion sans devoir passer par la case prison. Sonnez hautbois, résonnez musettes, la lecture y pourvoira !
Continuer la lecture de « Lectures de vacances (1) »La mort volontaire au Japon
Maurice Pinguet
Gallimard
Quand on se lance dans une chronique de Dune, on n’a pas trop à se demander quoi raconter. La matière ne manque pas, assez copieuse pour remplir un plein bouquin. On se pose plutôt la question de savoir ce qu’on va raconter qui n’ait pas déjà été dit depuis un demi-siècle que le roman est sorti. Assortie d’une autre : sur quoi faire l’impasse pour pondre quelque chose d’un tant soit peu synthétique.
Au fond, une critique de Dune tient en une phrase : si tu ne dois lire qu’un seul roman de science-fiction dans toute ta vie, c’est celui-ci.
Dune
Frank Herbert
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