Les fêtes de fin d’année sont synonymes de neige et d’orgies de bouffe, le moment idéal pour une chronique de Vorace (Ravenous en VO), western d’horreur sorti en 1999 et réalisé par Antonia Bird sur un scénario de Ted Griffin.
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Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Atelier bricolage : coffret Phitanie
Aux Halliennales 2018, j’avais acheté pour l’anniversaire de madame K à part la trilogie Phitanie de Tiphaine Croville parue aux éditions Rebelle.
Depuis, la miss est devenue une grande fan de Phitanie. Elle a lu le premier tome – qu’elle a adoré. Elle est en train de lire le deuxième – qu’elle adore encore plus. Mais…
Mais elle n’a pas LE sac pour emballer ses bouquins. Moi, si (nananère). Ce sac “On est ce que l’on choisit d’être” faisait partie du pack Noël vendu par l’auteure l’an dernier.
Ghost in the chiottes, incontinence
Comme disait mon ami Jacob Delafon, “le trône ne fait pas le roi, mais le roi fait sur le trône”.
Pour enrichir l’article sur la légende de Hanako-san, voici un complément cinématographique.
Continuer la lecture de « Ghost in the chiottes, incontinence »Projet Noces d’écailles
En dehors de ce blog, l’essentiel de mon temps libre se partage entre les voyages temporels et l’extermination des licornes. Mais pas que. J’appartiens à la prestigieuse Académie draconique impériale. Eh ouais, la classe, hein ?
Continuer la lecture de « Projet Noces d’écailles »Dagmar : L’Âme des Vikings – Roar Uthaug
On trouve ce film distribué à l’international sous le titre Escape – logique puisque c’est la traduction littérale du norvégien Flukt. En France, il devient Dagmar, L’Âme des Vikings. Ah…
Continuer la lecture de « Dagmar : L’Âme des Vikings – Roar Uthaug »Ma collec’ Harry Potter Lego
La plus petite collection de la galaxie et pour cause !
Je n’ai jamais eu d’affinités particulières avec la saga de J. K. Rowling, qui était plutôt pas mal fichue à ses débuts, beaucoup moins sur sa fin et ses dérivés torpillés par l’appel des sirènes mercantiles et cinématographiques. Question de génération, je suis de celle d’avant : Harry Potter me parle moins que Goldorak ou Albator.