City, ça n’a jamais été mon truc. J’en ai eu tout gamin, quand la gamme ne portait pas encore de nom spécifique, assez peu au regard du thème Moyen-Âge qui constituait le gros de ma collec’ de l’époque. Aucun de ces vieux sets urbains ne m’a marqué plus que ça, exception faite de la caserne de pompiers n°6389, mais c’est moins dû au contenu de la boîte elle-même – je n’ai jamais fantasmé sur les combattants du feu – qu’aux circonstances de son “acquisition” (on l’avait chouravée avec mon frangin dans un magasin de jouets, énorme boîte, beau butin vu qu’elle était vendue 322 francs).
Aujourd’hui, c’est toujours pas plus mon truc qu’avant. La faute à une surreprésentation des boîtes à base de police et pompiers. Je ne sais pas quelle image du monde ont les gamins qui jouent à City de nos jours, dans une ville à feu et à sang, en proie aux incendies et aux voleurs, où tout n’est que flammes, sirènes et gyrophares. Alors bon, y a aussi d’autres sets plus calmes dans la gamme, mais dans les grandes lignes, ce sont les mêmes que quand j’étais petit, juste le design qui a été modernisé. Tout ça ne me faisait pas rêver quand j’étais minot, encore moins maintenant. Trop ancré dans l’ici et maintenant pour moi qui ai toujours été attiré par l’imaginaire, l’alternatif, le décalé, l’autre.
La gamme Friends, je la mets dans le même sac, puisqu’il ne s’agit ni plus ni moins que de City bis à destination des filles. Lego a beau s’en défendre, leur service marketing vit encore avec des représentations sociétales du siècle dernier. City, boîtes bleus, pompiers, policiers. Friends, boîtes roses, coiffeuse, poney. Deux gammes à peine genrées dans leur tête… Si ce n’était que ça encore, bon ben ce serait juste con, mais non les figurines des deux gammes ne s’accordent même pas ensemble, ce qui rend le tout incompatible. Donc clairement, pour eux, c’est les garçons d’un côté, les fille de l’autre et chacun chez soi. Bienvenue dans les années 50.
Perso, je ne suis pas plus porté sur Friends que sur City, pour la simple et bonne raison que ce n’est pas davantage mon univers. Et j’accroche moyen aux constructions bariolées à base de rose, mauve, vert pomme et bleu azur. Mais je trouve Friends plus intéressante que City et je garde un œil dessus pour ses idées d’aménagement d’intérieur et de mobilier (grosse source d’inspiration pour bidouiller des trucs dans ma Batcave).
On l’aura compris, il s’agit d’univers qui ne m’attirent pas. Idem les boîtes dans le même esprit urbain et contemporain issues d’autres gammes (Speed Champions – j’ai jamais fantasmé non plus sur les bagnoles de course –, Creator, Lego Movie, etc.). J’en ai quand même récupéré quelques-unes par-ci par-là, certaines lors d’opérations promotionnelles dans les magasins de jouets près de chez moi, d’autres en solderie, d’autres encore encore qu’on m’a offertes. Les boîtes gratuites ou vendues une bouchée de pain, c’est toujours intéressant, peu importe le contenu. Du stock de briques à pas cher, on dit jamais non, ça finit toujours par servir.
Donc tout ce qui suit, à de rares exceptions près, a fini en pièces détachées pour être recyclé dans d’autres constructions.
City
Biker Bob (2584)
Figurine antique et collector offerte par mon frère, qui l’avait récupérée dans les temps jadis en achetant le jeu Lego Creator, sorti en 1998.
Balayeuse de voirie (6649)
Un set pas tout récent datant de 1995, du temps où City ne s’appelait pas encore City et où on parlait encore de Lego System. J’ai récupéré ce Street sweeper dans un lot de vrac, encore monté moins quelques briques (brosses latérales, robinets à l’arrière, bidules sur le toit) que j’ai dû remplacer. La figurine est quant à elle toujours portée disparue, on compte sur Chuck Norris pour la retrouver. C’est un de ces petits véhicules utilitaires sans prétention qui abondent dans la gamme depuis ses débuts, régulièrement remis au goût du jour (modernisé en 2005 sous le n°7242, redesigné en 2020 sous le n°60249). Je l’ai conservé, parce que mine de rien le machin a trente ans au compteur.
Le quad des pompiers (30361)
Polybag chopé gratos à Maxi Toys, avec dedans un quad et un pompier. Vu que le set s’appelle le quad des pompiers, le contenu a le mérite d’être cohérent avec le titre. Un genre de Mighty Micros City plutôt que DC ou Marvel, le fun en moins, ce qui fait que je n’ai gardé que la fig et pas le véhicule.
Le jetpack de la police (30362)
Polybag récupéré en même temps que le précédent. Une policière avec une aile dorsale, un voleur avec un drone (et un costume de bagnard sorti du XIXe siècle). Bon. Disons que pour un gamin qui a déjà du City, ça fera toujours deux personnages à ajouter pour peupler sa petite ville. Sinon, on ne voit pas trop ce que ce polybag apporte à une gamme surchargée en malandrins et représentants de la maréchaussée.
L’avion de voltige (60019)
Ma mère a déniché cette boîte neuve et jamais ouverte depuis 10 ans sur une brocante pour une misère. Pas sûre qu’elle me botterait vu que j’ai jamais été un fan de l’aviation civile, encore moins quand il s’agit de faire le clown dans les airs au mépris de la sécurité et de l’environnement, elle s’est dit qu’au pire, je pourrais toujours recycler les pièces ailleurs. Je l’ai monté et gardé, parce que pourquoi pas.
Le set est sommaire avec ses 140 pièces mais complet, puisqu’en plus de l’appareil et son pilote, il propose aussi un mécano avec sa voiturette chargée d’outils, un plus appréciable pour la jouabilité. L’avion tout seul, on pourrait juste s’amuser à le faire voler, là on peut mettre en scène des interactions avec les personnages, des réparations, des préparatifs de vol…
Le pick-up et sa caravane (60182)
Un des rares sets que j’ai conservé, offert il y a une paire d’années par une amie qui trouvait que j’avais besoin de vacances. Du classique de l’univers Lego : la petite famille traditionnelle (blanche, hétéro, bobo) qui se ressource au contact de la nature… à bord d’un mobil-home de la taille d’un porte-avions, tracté par un énorme pick-up bien polluant. Au rang des absurdités – et en même temps si représentatives des priorités de l’espèce humaine –, le mobil-home est équipé d’une parabole et d’un home cinema, mais pour bouffer, faut se rabattre sur un réchaud Butagaz.
Sinon, pour des gamins, le set propose un contenu correct avec véhicule, remorque, trois figurines, une poignée d’accessoires, des éléments amovibles, des machins qui s’ouvrent, des trucs qui coulissent.
L’équipe minière (60184)
Dans les boîtes sous licence, chaque personnage fait grimper l’addition à raison de 5€ minimum la fig. Preuve qu’on engraisse les ayants droit et que Lego peut faire du pas cher, ce mini-set comporte rien moins que quatre figurines et ne coûte que dix balles. En prime, un engin de chantier sommaire, un détonateur et quelques bâtons de dynamite, un placard et une étagère où repose une pépite d’or, une araignée qui brille dans le noir, plus un petit bout de roche à faire sauter grâce à un bouton poussoir. Bien sûr, tout est simpliste, mais ça fait le taf sans être la ruine.
Le drone de la police (60207)
Boîte offerte chez Maxi Toys pour x euros d’achats et récupérée quand j’ai fait l’acquisition de… je sais plus. ‘Fin bref, j’étais venu acheter un set et en arrivant à la caisse, on m’a filé celui-ci en plus. OK.
Le titre est foireux, puisque le drone n’appartient pas à la police – dotée ici d’un hélicoptère assez moche – mais au bandit en costume de Dalton, parce que chez Lego, on semble penser que les criminels travaillent dans cette tenue. Drone donc, dont la fonction est de voler une statue de pompier en or. Parce que ça aurait été dommage de ne pas caser un énième pompier dans la gamme.
Au final, pas le set de l’année, loin de là. J’ai conservé les figurines et versé tout le reste dans la réserve de pièces détachées.
L’intervention des pompiers au restaurant de hamburgers (60214)
Déniché dans un lot de vrac sur une brocante, ce set est incomplet et le restera, sans regrets. Les pièces pour reconstituer le “restaurant” – terme grandiloquent pour ce qui ressemble davantage à un bête stand – étaient présentes, mais le machin simpliste ne m’emballait pas et il manquait les briques pour reconstruire l’enseigne en forme de hamburger. Les trois figurines étaient là : le cuistot, la pompière avec sa moto, le pompier en équipement complet. Quant au camion avec la lance à incendie, il en restait une carcasse à moitié démantibulée. D’habitude, je ne raffole pas du thème pompier, mais là, l’engin avec son pouet-pouet qui fait jaillir l’eau quand on appuie dessus m’a fait marrer (un rien m’amuse…). Je l’ai donc complété à l’identique, avec une seule entorse à la reconstitution : les portières. Plutôt qu’en rouge uni, j’ai recyclé deux portes antiques avec le logo vintage de mon enfance.
Le camion de chantier (60284)
Celui-ci, je l’ai conservé alors que je n’ai pas d’attirance particulière pour le thème des chantiers de construction. C’est un cadeau de maman qui l’a trouvé à Monoprix pour 5€ au lieu de 10, l’emballage étant abîmé. Elle trouvait le set marrant à cause de la présence du rat (le rat, cet élément comique insoupçonné…). Ledit rongeur a atterri dans ma Batcave, près d’un ordinateur, où il fait office de… souris.
Et donc j’ai gardé le set par nostalgie de mon enfance. À l’époque, avec mon frère, on avait de belles grosses boîtes à Noël et aux anniversaires, mais entre deux, ma mère nous ramenait à l’occasion un petit machin du même genre qui lui permettait de nous faire plaisir sans se saigner aux quatre veines. Depuis que je me suis remis aux Lego, elle a repris cette vieille habitude et ça, c’est cool.
La voiture de police (60312)
Ma mère l’a trouvée pour 2€ dans un bac à soldes à Monoprix au lieu de 9 ou 10, tarif variable d’une enseigne l’autre. Cette caisse pourrie n’en vaut pas davantage, symptomatique d’une marque qui s’oriente vers le jouet de luxe en soignant ses sets à 400€ et plus (bon, ça, OK) pour mieux négliger à l’autre bout les petites boîtes accessibles au plus grand nombre (et ça, non, parce que foutage de gueule).
On a donc ici une voiture de police qui aurait pu être honnête (et venir pourquoi pas renforcer le commissaire Gordon du set 76120), on se retrouve en vérité avec un machin pas fini tout nasebroque.
Alors bon, les défauts sont faciles à corriger soi-même, mais on n’est pas là pour terminer le travail d’une bande de jemenfoutistes ! Et la marque veut se positionner “de luxe” ? Ben mon vieux, t’es ambitieux ! Parce que tu crois que cette tire foirée donne envie d’investir dans un set à 500 balles ? Moi, je vois ça, je me dis que si Lego accouche d’un modèle bourré de défauts sur la seule base d’une centaine de pièces, le carnage doit atteindre un niveau inégalé avec des milliers de briques. Bonjour l’image de marque…
Et au revoir la voiture de police dont les pièces partent direct dans la réserve.
La voiture de course (60322)
Petit set 4+ soldé à 2€ chez Monop’ et raflé par cette infatigable chasseuse de Lego qu’est ma mère.
Au-delà du fait que les voitures de courses ne m’ont jamais intéressé, à plus forte raison en orange, une couleur que je déteste, le gros défaut de ce set, c’est son livret d’instructions de 50 pages. Ça fait beaucoup pour un bidule monté en cinq minutes. Beaucoup de papier, surtout. Pour ajouter un volant, faut deux pages ! Alléger les notices ne serait pas un luxe, c’est toujours ça de papier économisé (industrie au moins aussi polluante que celle qui produit le plastique des briques), toujours ça de coût de production en moins.
Sinon, cette petite boîte fera le taf auprès du public concerné (donc dans mon cas finira en pièces détachées). Une bagnole sommaire mais correcte, deux personnages (pilote et mécano), un râtelier d’outils simpliste mais qui a au moins le mérite d’exister, un trophée sur son piédestal, le tout pour 9 ou 10 balles au plein tarif, variable selon les enseignes.
Le tracteur forestier (60390)
10€ sur le site Lego, 11€ chez King Jouets qui est toujours plus cher d’un euro, 3 balles chez Action, ça donne une idée des marges que se font les deux premières enseignes et, chez la troisième, du vrai prix de la boîte.
Petit set forestier dont un gamin fera vite le tour en termes de construction et de jeu, il ne présente qu’assez peu d’intérêt seul. Faut plutôt voir cette boîte comme un complément qui s’intégrera à un espace City plus vaste, du genre qui encombre la moitié de la chambre avec des bâtiments et des véhicules dans tous les sens.
Contenu sympa avec un personnage et ses accessoires (arrosoir, pelle, balai), un tracteur et sa remorque, une poignée de plantes à repiquer et un sapin, un écureuil et sa noisette, et même une coccinelle, soit pas mal de petits machins à implémenter dans un décor préexistant.
Calendrier de l’avent 2018 (60201)
Les calendriers de l’avent Lego, ça ne sert à rien de se ruer dessus. D’abord parce que le contenu n’est jamais bien folichon, ensuite parce qu’il y a toujours moyen de mettre la main dessus bien après les fêtes pour beaucoup moins cher que le tarif initial. Des Star Wars, j’en ai deux. Seul intérêt : UNE minifig exclusive en costume de Noël par boîte ; sinon c’est quatre, cinq autres figs que tu as déjà et une petite vingtaine de bidules nasebroques pour l’essentiel. Pour 35€ au prix fort. Donc si Star Wars ne vaut ni le coup ni le coût, je te laisse imaginer pour une gamme lambda comme City. Alors c’est moins cher, mais ça ne mérite pas davantage de débourser les 20-25€ du prix public pour un père Noël, une demi-douzaine de figurines random et une quinzaine de brimborions pas flamboyants. J’ai eu du pot avec la mouture 2018 en trouvant le calendrier soldé dix balles chez Maxi Toys. La boîte a en plus le mérite de ne contenir ni pompier ni policier (ouais, parce que même à Noël, Lego peut pas s’empêcher de partir dans ses délires anxiogènes de criminalité urbaine et d’incendies). C’est le prix que ça vaut, 10€, pour quelques personnages et une poignée de pièces qu’on trouve toujours à recycler ici ou là.
Friends
Sets en vrac
Parmi les lots de solderie, plusieurs sets Friends incomplets ont atterri entre mes pognes : La remorque à chevaux d’Emma (3186), La montgolfière d’Heartlake City (41097), Le magasin de plage (41315) et Le transporteur de hors-bord d’Andréa (41316). Soit une belle fournée de briques aux couleurs flashy dont je ne sais pas trop quoi faire… Mais sait-on jamais, un jour peut-être, sur un MOC improbable du style Panzer rose Barbie et fuchsia. Après, ça reste une bonne pioche pour le prix (5€ pour plusieurs centaines de briques) et tout un tas d’accessoires et petits éléments décoratifs faciles à réemployer. Plus la possibilité de refaire la montgolfière, qui est plutôt sympa.
L’auto-tamponneuse d’Emma (30409)
Polybag offert dans le Maxi Toys près de chez moi, j’en ai repompé la plupart des pièces. Les noires et les violet foncé, ainsi que le chat, ont alimenté le Catorak ; les cheveux d’Emma ont fini sur la tête d’une autre fig à l’effigie de ma chère et tendre.
Le véhicule de protection des tortues (41697)
Petit set récupéré pour deux balles en solderie avec un quad/buggy histoire de bien polluer l’environnement des tortues, une remorque, deux personnages et un micro bout de plage. Tout cela est très symbolique, réduit à sa plus simple expression, et demandera pas mal d’imagination pour y voir une vraie plage. Pas de quoi casser trois pattes à un canard, malgré la présence de quelques pièces sympas comme les deux tortues, la coquille d’œuf, le panneau.
La porte d’Halloween (561510)
Polybag que ma mère s’est vu offrir dans la solderie où elle a ses habitudes (une desdites habitudes étant de rafler tous les Lego qui s’y trouvent pour me les ramener). Donc une porte, sur le thème d’Halloween. Dans le genre simpliste, on aura rarement vu mieux (ou pire, selon comment on voit les choses). Marrant de se dire qu’un type a été payé pour imaginer un truc pareil…
Bon, ça peut toujours faire des pièces pour un MOC Halloween un peu plus conséquent (la citrouille, le crâne, la chauve-souris). La porte elle-même est assez facile à recycler dans n’importe quelle structure architecturale. C’est toujours ça de pris.
Sinon quand même, Lego aurait pu mettre un personnage dans le polybag, au lieu de se contenter d’en dessiner un sur l’emballage.
Speed Champions
Aston Martin Valkyrie AMR Pro (30434)
Je n’aime ni les bagnoles, ni la vitesse, ni les couleurs flashy. Je vous laisse donc imaginer ma joie quand ma mère m’a ramené cette voiture de course vert pomme, parfait condensé de tout ce que je déteste.
Au moins, le prix m’allait : 40 centimes en solderie, c’est pas la ruine.
Alors bon, j’ai quand même monté cet engin aux couleurs occulicides, parce qu’une abomination pareille, je voulais voir à quoi ça ressemblait en vrai. J’ai pas été déçu du voyage. “L’horreur, l’horreur”, comme disait le regretté colonel Kurtz.
L’Aston Martin, jusqu’ici, je l’associais à James Bond, l’agent secret tout en classe et en smoking. Les Valkyries, je les imaginais en figures guerrières épiques, la lance à la main et les tresses au vent, chevauchant dans les cieux avec Wagner à fond la caisse pour les accompagner. À quel moment, tu veux avoir l’air classe et épique en vert pomme ?
Au moins, y a pas mal de petites pièces noires et gris foncé à récupérer, qui me seront toujours utiles pour bidouiller mes véhicules batmaniens. Plus quelques pièces pas courantes et intéressantes (des plates 1×5 et 3×3 noires). Quant au vert pétant, peut-être un jour me servira-t-il pour bricoler un véhicule au Joker ou au Sphinx.
McLaren Senna (75892)
Boîte récupérée lors d’une opération dans un Maxi Toys, que j’ai prise parce qu’elle était offerte. Sinon, moi, les bagnoles… On a donc une caisse qui amusera sans doute un gamin, qui peut-être suscitera quelque chose chez un collectionneur de vroumvroum, soit un de ces sets lambda corrects et qui font le taf sans qu’il y ait non plus de quoi sauter au plafond. Pour ma part, ça a été une mine de petites pièces noires et grises dont je me suis servi pour bidouiller mes véhicules Batman.
The Lego Movie
L’offrande d’Emmet (30340)
Polybag récupéré gratos parmi une pleine caissette d’autres dans mon Maxi Toys. J’avoue que l’objectif de ce machin m’échappe. Une espèce d’énorme cœur aussi bariolé qu’immonde, qui ça intéresse ? Et pour en faire quoi ? On a vu mieux pour l’exposition comme pour la jouabilité. Donc les pièces ont fini dans ma réserve… où elles sont toujours, parce que va employer des coloris pareils… La fig est exposée parmi les autres, parce que c’est une fig, mais sinon elle n’a rien de transcendant.