Un bail que traînaient dans mon stock les pièces de la partie supérieure de la montgolfière d’Heartlake City (Lego Friends 41097). Un bail aussi que je voulais faire un ballon avec, sauf que je n’avais pas envie de recréer le set original. Je suis tombé y a pas long sur des pièces d’une autre montgolfière, la noir et rouge figurant dans la boîte de la prison en haute mer (Lego City 60130), dont les couleurs m’ont fait penser à Harley Quinn.
Il y eut un soir, il y eut un matin. Au terme d’une petite intervention plastique, je peux maintenant vous dévoiler ma paire de ballons.
Mois : novembre 2024
Critiques express (63) Histoire(s) de fesses
L’Histoire a beaucoup inspiré les auteurs d’érotisme et de porno.
Pas toujours pour le meilleur…
Dangereuse Callisto – Isaac Asimov
Dangereuse Callisto
Isaac Asimov
Folio SF
Ce recueil de huit nouvelles d’Asimov intéressera avant tout les fans hardcore du bonhomme et les collectionneurs compulsifs. Les autres, je suis moins sûr. Si Asimov n’est pas votre tasse de thé, ces textes de jeunesse très moyens ne risquent pas de vous réconcilier avec lui. Si vous accrochez sans plus au reste de son œuvre, vous ne gagnerez pas grand-chose à lire ces nouvelles pas très renversantes. Si vous n’avez jamais mis le nez dans l’abondante bibliographie de “l’homme aux cent mains” (surnom qu’il doit à sa manie du tripotage plus qu’à son stakhanovisme à la machine à écrire), vaut mieux commencer par quelque chose de plus abouti comme Fondation ou Les robots plutôt que ces récits qui ont peu de chances de vous conquérir.
Critiques express (62) Le vice sans la vertu
Chaque jour le monde part un peu plus en sucette, ce qui me semble un bon prétexte pour continuer l’exploration des titres de ma collection de BD érotiques, histoire de rester dans la thématique.
Continuer la lecture de « Critiques express (62) Le vice sans la vertu »Cérémonie des K d’Or 2024
Après un tir à vide l’an dernier, les K d’Or reviennent pour le plus grand bonheur des petits et des grands (et surtout pour marquer mon anniversaire qui tombe le même jour).
Une sélection plutôt copieuse avec environ 150 bouquins lus et chroniqués au cours de l’année écoulée depuis l’édition 2023. Beaucoup d’hésitation sur certains titres, mais comme disait Anatole Deibler qui en connaissait un rayon sur le sujet, “au bout d’un moment, il faut savoir trancher”.
La maison interdite – Dean R. Koontz
La maison interdite
Dean R. Koontz
Pocket Terreur
Avec Koontz, on n’est jamais déçu. En tout cas quand on sait à quoi s’attendre. Dès lors qu’on a cerné l’écriture du bonhomme (cf. mes chroniques de Fièvre de glace et Le masque de l’oubli), c’est toujours la même chanson : une bonne prémisse gâchée par l’ajout de couches successives de clichés, de facilités d’écriture, d’éléments sortis de nulle part pour mieux y retourner faute d’être exploités, tout ça pour arriver à un improbable final WTF qui ferait passer les pires trips sous LSD pour d’aimables rêveries.
La maison interdite n’échappe pas à la règle. Ça aurait pu être un bon roman, dans un esprit assez proche de Stephen King. Mais non. C’est un bon gros nanar des familles.