Ce samedi (là maintenant tout de suite), Sophie Jomain et Maxime Gillio sont en dédicace à la librairie Develay de Villefranche-sur-Saône. Une librairie qui a bon goût en matière d’iconographie, le binôme Jomain-Astier étant une idée fantaisiste de bibi.
Photo à la fameuse librairie.
Version originale ci-dessous (et d’autres montages dans la même veine ici).
Lovecraft est à l’honneur depuis l’année dernière, sans doute pour commémorer le centenaire de sa mort en 1937 (en mathématiques non euclidiennes, le compte est bon, t’inquiète). Ou pas. Enfin pas plus que d’habitude. Voilà des décennies qu’il sort chaque mois des rééditions, des essais, des hommages, des pastiches, beaucoup de pillages inavoués… Ce type, plus pompé que Félix Faure, a fait couler autant d’encre que toutes les seiches du monde réunies. Parmi les sorties récentes, Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu. J’avais hésité sur le moment, craignant une énième parodie foireuse. Si j’étais une balance, je te dirais que l’avis d’Anthelme Hauchecorne m’a convaincu de tenter le coup. Mais comme je suis Scorpion… euh… ben pareil, c’est lui le coupable ! Avec la machine à écrire dans la véranda. Mais laissons le docteur Lenoir reposer en paix et revenons à nos moutons aquatiques.
Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu Karim Berrouka ActuSF
Une partie de la mes lovecrafteries (le reste, j’avais la flemme de le sortir).
La lecture de La maîtresse de guerre de Gabriel Katz est en cours. En attendant la chronique, voici une version maîtresse d’école où la damoiselle enseigne la poliorcétique et l’usage de la catapulte dans un cross-over avec Kaamelott (Livre III, épisode 95, L’Étudiant).