Avant de partir pour une chasse au trésor sur fond de guerre de Sécession (comme dans Le bon, la brute et le truand), tu commences par recruter une bande de fumiers (comme dans Les douze salopards), au nombre de sept (comme dans Les sept mercenaires), chacun avec sa spécialité (comme dans Mission Impossible) pour récupérer le magot. À la tête de l’équipe, tu nommes un sosie de Dolph Lundgren (avec sa tête de maintenant, pas celle qu’il avait à l’époque à 10 ans) qui a comme mission dans la mission de se débarraser des sbires sous ses ordres pour que l’opération ne laisse pas de traces (pis ça facilite le partage du magot de tout garder pour soi).
Alors, ce western d’Enzo G. Castellari sorti en 1968 n’a rien de bien original, on l’aura compris, mais à défaut d’être un grand film, il propose un bon divertissement. C’est déjà pas mal.
Les fourmis – Bernard Werber
Dans ma chronique sur Dragon Magazine, j’avais évoqué les portes ouvertes par la revue vers tout un tas d’univers, films, auteurs, jeux, livres… C’est par le biais du n°5 de mai-juin 1992, ce qui ne rajeunira personne, que j’avais découvert l’existence des Fourmis (le roman, pas les insectes, eux, j’étais déjà au courant).
En ces temps jadis où les dinosaures gambadaient encore dans nos vertes prairies, j’avais adoré ce bouquin.
Aujourd’hui, moins.
Les fourmis
Bernard Werber
Albin Michel
Le camion de l’Agence Tous Risques
Que seraient les membres de l’Agence Tous Risques sans leur camion ?
Des piétons.
La part des ténèbres – Stephen King
Coincé par sa propre notoriété et les contraintes éditoriales, Stephen King se crée un alter ego, Richard Bachman, pour placer certains de ses bouquins. Jusqu’au jour où la supercherie est découverte par un employé de librairie, Steve Brown, après la publication de La peau sur les os. Prenant les devants, King révèle au monde sa double identité, perdant au passage son siège à la Ligue des super-héros, où les règles sont strictes sur le sujet (ne pas parler du fight club, ne pas nourrir un Mogwai après minuit et surtout ne jamais dévoiler son vrai nom, quand bien même le secret serait de polichinelle dans la lignée des Clark Kent, Bruce Wayne et autre Peter Parker).
Cette mésaventure lui inspirera La part des ténèbres.
La part des ténèbres
Stephen King
Pocket Terreur
Critiques express (56) Guerres en images
J’ai déjà chroniqué pas mal de bouquins sur le sujet militaire, la plupart très chargés en texte et peu fournis en iconographie, voire dépourvus de la moindre image, ce qui rend leur propos parfois très abstrait et éthéré, avec tout ce qu’on peut imaginer comme difficultés pour se réprésenter le sujet traité.
Aujourd’hui, ce sera l’inverse avec des livres bourrés de photos.
Huit ans à part
L’an dernier, j’avais soufflé les bougies du blog le cul entre deux chaises, moitié satisfait du travail accompli, moitié sur ma faim de ne pas avoir pu faire tout ce que j’aurais voulu.
Aurai-je réussi cette année à poser mon auguste séant à un endroit plus confortable ?
(Suspense insoutenable…)