Grand secret mais petit livre avec ce Brussolo d’une bonne centaine de pages écrites assez gros pour être lues en une heure.
Le livre du grand secret
Serge Brussolo
J’ai Lu
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Grand secret mais petit livre avec ce Brussolo d’une bonne centaine de pages écrites assez gros pour être lues en une heure.
Le livre du grand secret
Serge Brussolo
J’ai Lu
Après la licorne magique (ref. 31140), c’est au tour du “pégase mythique” (ref. 40691) de rejoindre le catalogue Lego et celui des pléonasmes. Créature fabuleuse, le pégase relève par définition du mythe sans qu’il y ait besoin de le préciser.
Sur les falaises de marbre
Ernst Jünger
L’Imaginaire Gallimard
Dans le pays imaginaire de Marina, le narrateur, anonyme, et frère Othon – qui porte “comme par hasard” le même prénom que le fondateur du Saint-Empire romain germanique – coulent des jours peinards dans un ermitage où leur principale occupation consiste à regarder pousser les plantes. Avec un emploi du temps pareil, les deux gaziers ne risquent pas de se faire un claquage, mais faut les comprendre : jadis, ils ont été soldats, ont participé à une guerre aussi terrible que vaine, ont été marqués par le conflit, et ils n’aspirent plus depuis qu’au calme et à la tranquillité. Sauf que pas de bol, l’État voisin sous la houlette du Grand Forestier s’agite et la menace est grande de voir déferler les hordes guerrières aux ordres du dictateur.
Depuis le dernier épisode qui remonte déjà à cinq mois, je n’ai pas beaucoup avancé la Batcave, occupé que j’étais sur d’autres constructions. Mais quand même, à petit rythme, les travaux progressent et les parties manquantes de l’édifice continuent de se remplir.
Transe de mort, la saga Manitou, Rituel de chair, autant de titres qui me font dire que Masterton appartient à la catégorie des auteurs surcotés. Pour lui, faudrait même un adjectif exprès. Hypercoté, pas moins.
Je me suis donc lancé dans Le portrait du mal sans illusions.
Bon, à l’arrivée, ce roman a le mérite d’être le moins mauvais Masterton que j’ai lu. Après, de là à dire que c’est bien… Quand même pas.
Le portrait du mal
Graham Masterton
Pocket Terreur
La première décennie du XXIe siècle a vu sortir une foultitude de films de zombies qui se sont pris pour 28 jours plus tard. Parmi cette kyrielle de bobines, des étrons, beaucoup d’étrons. The Vanguard est du lot.