Jurassic Park – Michael Crichton

Michael Crichton, comme Robert Ludlum ou Graham Masterton, fait partie de ces auteurs surcotés, dont on se demande toujours comment leurs bouquins ont pu se vendre sur la base d’un festival de clichés et d’incohérences, d’une narration mécanique et prévisible, d’une maîtrise inexistante du rythme entre longueurs et frénésie, et d’un style qui se contente d’aligner des mots de la façon la plus neutre possible et où chaque phrase pourrait donc être de la main de tout le monde et n’importe qui.
Jurassic Park, c’est tout le cocktail condensé dans un seul bouquin. Pas mauvais mais loin d’être bon et à peine moyen.

Jurassic Park
Michael Crichton

Pocket

Couverture roman Jurassic Park Michael Crichton Pocket
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Le Cercle de Faidherbe – Emmanuel Sys

Direction le monde merveilleux des classes préparatoires avec un polar régional de ch’Nord.

Le Cercle de Faidherbe
Emmanuel Sys
Ravet-Anceau

Couverture roman Le Cercle de Faidherbe Emmanuel Sys Ravet-Anceau
“Pour quelqu’un de l’extérieur, ce monde de la prépa paraissait nébuleux et louche.” (p.108)
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Blood Horns – Ludovic Bertin

Ouvrage dans la langue de Molière, même si son titre – Bloudorns dans la bouche de bien des lecteurs – pourrait laisser accroire qu’il est écrit tout en albionperfide. Par contre, le nom de l’auteur se prononce, lui, à la française et non pas Beuwrtine.
Ces indispensables considérations linguistiques réglées, préparez vos valises et direction l’Afrique. Il y a du rififi en Namibie, some rififi in the Namibia, comme on dit dans la langue d’un Shakespeare adepte de l’école buissonnière.

Blood Horns
Ludovic Bertin

LBS Éditions

Blood horns Ludovic Bertin LBS noir
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La nuit derrière moi – Giampaolo Simi

La nuit derrière moi
Giampaolo Simi

Le Livre de Poche

Couverture roman La nuit derrière moi Giampaolo Simi Le Livre de Poche

Un roman qui se place du côté du “monstre”, Furio Guerri, un nom qui sent bon la furie et la guerre. Un récit qui utilise beaucoup la deuxième personne du singulier. Y avait du potentiel, quelque chose dans l’esprit des premières saisons de Dexter avec son antihéros serial killer et ses voix off, du temps où la série était potable.

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