Michael Crichton, comme Robert Ludlum ou Graham Masterton, fait partie de ces auteurs surcotés, dont on se demande toujours comment leurs bouquins ont pu se vendre sur la base d’un festival de clichés et d’incohérences, d’une narration mécanique et prévisible, d’une maîtrise inexistante du rythme entre longueurs et frénésie, et d’un style qui se contente d’aligner des mots de la façon la plus neutre possible et où chaque phrase pourrait donc être de la main de tout le monde et n’importe qui.
Jurassic Park, c’est tout le cocktail condensé dans un seul bouquin. Pas mauvais mais loin d’être bon et à peine moyen.
Jurassic Park
Michael Crichton
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