Solo: A Star Wars Story, c’est le drame de vouloir tout expliquer. On n’a pas besoin de tout savoir sur un personnage. C’est d’ailleurs ce qui fait une part de son intérêt : le mystère. Ce qu’on ignore, on peut l’imaginer, sans limite d’inventivité ni de budget, sans contrainte de cahier des charges, de production, de fan service. C’est la raison pour laquelle les préquelles sont décevantes. Pas seulement parce que la plupart sont (mal) faites pour de mauvaises raisons. Mais parce qu’elles sont toujours en dessous de ce qu’on avait imaginé.
J’ai donc repris le film. Retravaillé l’affiche. Renouvelé le casting.
Changé une lettre du titre.
Rien qu’une lettre.