Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Détournements de couvertures, de titres, de livres… Des ouvrages fictifs, des auteurs imaginaires, des parodies délirantes… Photoshop et moi, une grande histoire d’amour et d’humour.
Scène iconique de l’album Coke en stock, la bordée d’injures du capitaine Haddock ne pouvait pas échapper à mes fantaisies parodiques…
Continuer la lecture de « Inutile, capitaine, il est trop loin maintenant »Fin juillet, Étienne Klein bernait les internets en faisant passer une tranche de chorizo pour une étoile photographiée par le télescope spatial James Webb.
Fin août, les Utopiales révèlent l’affiche du festival qui se tiendra du 29 octobre au 1er novembre à Nantes, dans les prisons de laquelle il y a un prisonnier diguedondaine.
J’ai réussi à tenir cinq minutes sans faire le con avec l’affiche.
Le diable se cache, dit-on, dans les détails. Il n’est pas le seul, je me planque au même endroit.
Parce que l’idée d’associer le personnage féminin du film à une truie n’était pas ce qu’on pourrait appeler le top de la pertinence, j’ai refait l’affiche de Krypto et les Super-Animaux. Après avoir éliminé tous les animaux connotés (chienne, chatte, poule, dinde, chameau, thon, morue, moule, dragon…) et plutôt que mettre le vrai bestiau de Wonder Woman – à savoir un kangourou nommé Jumpa –, mon choix alternatif s’est porté sur une créature badass : la licorne (qui, non contente d’empaler les gens ou leur dévaster la tronche à coups de sabots, a en commun avec les chevaux de Diomède de les manger tout crus).
Version alternative de la version alternative : Cthulhu. Parce que pourquoi pas.
À la fin du siècle dernier, j’ai passé pas mal de temps sur Warcraft II. Pour la Horde !
L’illustration sur la boîte du jeu mettait un orc et un humain face à face. Comme un des visuels de la deuxième partie des Reliques de la mort, montrant Harry Potter et Voldemort nez à nez… enfin… nez à rien plutôt…
Si vous êtes auteur ou autrice, vaut mieux pas lire cet article jusqu’au bout. Il y a une phrase qui risque de vous faire pleurer (celle sur le volume du lectorat, #monculquecestpaslataillequicompte). Sachez que j’en suis bien, bien désolé comme tout, bouh, snif.
