Pour une poignée de dollars – Sergio Leone

Deux familles rivales mettent un patelin en coupe réglée tout en se faisant la guéguerre. Arrive un type en poncho fumant le cigarillo qui va bosser pour l’un puis l’autre camp, et surtout pour sa propre pomme, semant au passage encore plus la zizanie et raflant des paquets de pognon.

Pour une poignée de dollars Sergio Leone Clint Eastwood 1964
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Michel Strogoff – Jules Verne

Si le prince Orlov a donné son nom à un plat de veau et le comte Stroganov à une fricassée de bœuf, Michel Strogoff n’aura pas laissé de souvenir culinaire impérissable. Il ne porte pas de titre nobiliaire, ceci explique sans doute cela. À défaut de figurer dans un livre de recettes, son nom reste attaché à un roman de Jules Verne aussi goûtu que bourratif, farci d’aventures à la sauce Popov, c’est toujours mieux que rien.

Michel Strogoff
Jules Verne

Éditions Famot

Michel Strogoff Jules Verne éditions Famot
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Les sept momies – Nick Quested

Six prisonniers s’évadent, embarquent une otage, fuient à travers le désert, découvrent un médaillon qui traînait là au milieu de nulle part, rencontrent un vieil Apache qui habite là au milieu de nulle part aussi, et partent à la chasse au trésor plutôt qu’en cavale au Mexique.
Cette seule phrase couvre à elle seule la moitié du film, c’est dire si on s’emmerde devant ce film qui sera à chier jusqu’au bout.

Affiche film Les sept momies Nick Quested
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Cat’s Eye – Kaizō Hayashi

Paru entre 1981 et 1985, le manga Cat’s Eye de Tsukasa Hōjō avait eu droit à sa série animée en 1983-1985, Cat’s Eye en VO, Signé Cat’s Eyes en VF. En 1997, sort sur les écrans de cinéma une adaptation live, CAT’S EYE キャッツ・アイ, réalisée par Kaizō Hayashi (ou Hayashi Kaizō dans l’ordre japonais nom/prénom, mais ça reste le même gars).
C’est une daube.

Affiche film Cat's Eye Kaizo Hayashi 1997
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