“On” m’a posé la question. La réponse est oui.
Je serai au salon du polar de Templemars.
Le salon du polar de Templemars, j’y vais tous les ans depuis… je ne sais plus… 2010 ou 2011. J’aime bien. Pour donner une idée de l’ambiance, je renvoie à mon carnet de bord de l’an dernier.
Paraît que je suis la seule personne au monde à prononcer le s final du patelin. Que voulez-vous, les amis ?… Culture classique… Je ne vais pas m’aventurer à irriter un dieu de la guerre pendant un pèlerinage au temple de Mars.
Le 23 septembre 2017 sera l’occasion de la 10e édition métropolitaine. Pourquoi métropolitaine ? Peut-être un lien avec la métropole lilloise ou peut-être pour éviter la confusion avec la 10e édition d’outre-mer, on ne sait pas.
Thème de cet année, le polar ésotérique. Pourquoi pas, même si la liste des auteurs invités semble cadrer moyen avec le sujet.
Pour le programme des festivités et la liste des convives, tout est sur le site de la ville de Templemars. GN-reconstitution le 22, salon et conférence le 23, entrée gratuite, week-end sympathique en perspective.
Auteurs chroniqués ici (par ordre alphabétique sans m’occuper de savoir qui est tête d’affiche, national, régional, homme providentiel ou femme de l’année) :
– Lucienne Cluytens : La mort en guêpière, La panthère sort ses griffes, Pink Konnexion ;
– Paul Colize (classé en auteur “national”, ce qui est à la fois vrai à l’échelle des publications et faux sauf si la France a annexé la Belgique depuis la dernière fois que j’ai regardé un atlas) : L’avocat, le nain et la princesse masquée, Back Up, Concerto pour 4 mains, Un long moment de silence ;
– Eric Dupuis : Aussi noir que le charbon ;
– Jess Kaan : Créature du miroir, Fissures Noires, Investigations avec un Triton, Le Label N ;
– Fabrice Pichon : plusdeprobleme.com ;
– Philippe Waret : La maison des aviateurs.
Si j’ai le temps d’ici-là vu que mon planning lecture/chronique est déjà bien chargé, j’essaierai de caser Jean-Pierre Bocquet (Dunkerque sous le signe d’Othmane), Michaël (et pas Mickael) Moslonka (C’est Baudelaire qu’on embaume), Fabrice Pichon (Retours amers) et Paul Colize (Zanzara).
(Edit : déplacement annulé pour des raisons de transport, j’ai un mot d’excuse signé par mes parents.)