Peuples de la Terre, des Internets et des Externets, j’ai une grande nouvelle pour vous. Je débarquerai sur votre planète le 6 octobre prochain. À Hallennes-lez-Haubourdin pour être précis.
Pourquoi pas Washington, Londres, Paris ou New Delhi ? Parce que le reste de ma flotte spatiale sera en train de pulvériser la Maison-Blanche, le Tower Bridge, la tour Eiffel et le Taj Mahal, comme à chaque débarquement alien, qui voit un déstockage massif de plans monuments.
Ce sera donc Hallennes pour les Halliennales !
Les Halliennales 2017, j’en étais reparti fauché et heureux. Je compte bien remettre le couvert cette année !
Pas le choix de toute façon, je fais partie des blogueurs partenaires de cette édition 2018. Dure vie que la mienne… toujours réclamé à droite à gauche comme une star hollywoodienne… Après, soyons honnête, il n’y a pas eu besoin de me le dire deux fois. Les organisateurs (la mairie d’Hallennes-lez-Haubourdin et Orcus Événements) n’ont pas été obligés de déployer ces moyens chers à la fiction. Personne n’a kidnappé ma femme/fille/sœur/autre pour me forcer la main… aucun homme de main ne s’est pointé chez moi pour me titiller les rotules… la chaîne que je porte au cou ne va pas exploser si je m’éloigne à plus de cent mètres du complexe Pierre de Coubertin.
En attendant le jour J, tu peux jeter un œil au casting sur le site du festival. Du beau monde en perspective, ça promet un programme chargé en retrouvailles et rencontres. Ma valise est déjà prête et je frétille comme un nourrisson dans une friteuse.
À propos de graillon, je ramène le dessert (et je préfère prévenir qu’il n’y en aura pas pour tout le monde). Fait maison (rassurez-vous, je cuisine beaucoup mieux que je ne dessine).
Côté prévisions d’achats… Dans les sûrs : du Berrouka, du Bouhélier, du Croville, du Lambert, du Mc Spare. Le reste, j’aviserai sur place. Je me connais assez pour savoir que je repartirai encore avec une pleine valoche de bouquins.
Pour les révisions, je t’offre une session de rattrapage en ressortant un paquet de chroniques des archives.
– Karim Berrouka : Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu ;
– Marie Caillet : Le talisman perdu ;
– Morgane Caussarieu : Chéloïdes ; Rouge Toxic ; Techno Freaks ; Dans les veines ;
– Tiphaine Croville : trilogie Phitanie (L’autre monde ; Les quatre royaumes ; Destinée) ;
– Maxime “je suis organisateur et je n’ai même pas de stand” Gillio : Anvers et Damnation ; Batignolles Rhapsody ; Bienvenue à Dunkerque ; Dunkerque, baie des anges ; L’abattoir dans la dune ; La fracture de Coxyde ; Le cimetière des morts qui chantent ; Les Disparus de l’A16 ; Ma fille voulait mettre son doigt dans le nez des autres ;
– Maxime Gillio & Orcus Morrigan : Manhattan Carnage ;
– Aurore Gomez : L’espoir sous nos semelles ;
– Anthelme Hauchecorne : Âmes de Verre ; Le Carnaval aux Corbeaux ; Baroque’n’Roll ; Punk’s Not Dead ; Journal d’un marchand de rêves ;
– Sophie Jomain & Maxime Gillio : Les anges ont la mort aux trousses ; Thérapie du crime ;
– Sophie Jomain & Fleurine Rétoré : Apocryphe ;
– Sophie Jomain & personne d’autre : Cherche jeune femme avisée ; D’un commun accord ; Les anges mordent aussi ; intégrale Felicity Atcock ; Quand la nuit devient jour ;
– Gabriel Katz : La maîtresse de guerre ; La Nuit des Cannibales ;
– Christophe Lambert : La Brèche ; Zoulou Kingdom ; Le Commando des Immortels ;
– Patrick Mc Spare : Mérovingiens ; Les Haut-Conteurs Origines ;
– Floriane Soulas : Rouille ;
– Vincent Tassy : Comment le dire à la Nuit.
En bonus, deux interviews : Tiphaine Croville ; Sophie Jomain.
Plus la mienne, pour Onirik (pour la VO, ici).
En lien avec le thème “jeunesse éternelle” de l’édition 2018 :
– Jean Bottéro (trad.) : L’épopée de Gilgamesh ;
– H. P. Lovecraft : Herbert West, réanimateur ;
– Norman Spinrad : Jack Barron et l’éternité.
Addendum : le compte-rendu du salon !