Les Sept Péchés Capitaux
Anthologies présentées par Sebastien Lapaque
J’ai Lu Librio
The Grudge – Shimizu Takashi
Le pitch : une Américaine blonde et conne débarque dans une maison hantée au Japon.
Mon avis : ce film est Guizmo. Caca.
Mitsubishi A6M5 Zero (Cobi)
Tout le monde en piste, on embarque pour un voyage vers le Japon des années 40 à bord du chasseur A6M5, plus connu sous le nom de Zéro, construit cette fois non par Mitsubishi ou Nakajima comme son auguste ancêtre de l’IRL mais en petites briques par la firme polonaise Cobi. Accrochez vos ceintures, ne vous affolez pas en cas de turbulences. Par contre si la DCA commence à seringuer, là vous pouvez paniquer et hurler de terreur, ça ne sert à rien mais ça met de l’ambiance.
Mémoires d’un lutteur de sumô – Kirishima Kazuhiro
En matière de lutte, mon autobiographie tient en une ligne, ma carrière de sumotori n’ayant jamais décollé puisqu’il n’existe aucune catégorie pour mon poids squelettique. On va donc plutôt se pencher sur la carrière de Kirishima Kazuhiro – qu’on trouve aussi référencé sous son nom de naissance Yoshinaga Kazumi – qui en a davantage à raconter.
Mémoires d’un lutteur de sumô
Kirishima Kazuhiro
Picquier
Comme le silence, la semaine est d’or
La Golden Week japonaise n’est pas sans rappeler le mois de mai français qui voit s’enchaîner les jours fériés et ponts, voire viaducs, avec ses 1er mai, 8 mai, Ascension et Pentecôte. Sauf qu’au Japon, au lieu d’en étaler partout dans le mois n’importe comment, tout est ramassé sur une semaine (d’où le nom de week, “c’est tout de même bien fait”, comme dirait Ben Poelvoorde).
Continuer la lecture de « Comme le silence, la semaine est d’or »Nimitz, retour vers l’enfer – Don Taylor / Martin Caidin
En août 1980, deux Nimitz, retour vers l’enfer (The Final Countdown en VO, aucun lien de parenté avec la chanson d’Europe) sortent, l’un au cinéma, réalisé par Don Taylor, l’autre en librairie, écrit par Martin Caidin. On lit souvent que le premier est une adaptation du second, c’est inexact. Le second n’est pas davantage une novélisation du premier : c’est le scénario original qui a été novélisé, pas le film définitif projeté en salles, d’où quelques différences entre le papier et la pellicule.
Dans un cas comme dans l’autre, le résultat n’a rien de bien palpitant, en témoigne l’enthousiasme palpable de Kirk Douglas sur l’affiche. Et tout au long du film aussi. L’acteur en oublie de jouer tellement il est occupé à se faire chier et à se demander ce qu’il est venu faire dans cette galère à propulsion nucléaire.