On ne viendra pas dire qu’Un K à Part ne se casse pas le cul pour ses lectrices… Enfin, c’est métaphorique, hein… Tu ne sais pas quoi acheter alors que Papa Noël débarquera bientôt ramoner ta cheminée ? Aujourd’hui, je deviens blogueuse mode. Viens chercher plaisir, c’est cadeau !
Au cas où tu ne le saurais pas, beaucoup de films sont des adaptations de bouquins, preuve que le cinéma a moins d’imagination que la littérature (gros troll inside).
Virée spéléo dans les archives pour ces critiques express qui ont tout d’une brocante. Au menu : … Et boules de gomme (Maëster), Rumeurs en Aquitaine (Philippe Caupenne) et Un drôle de phénomène (Cézard).
Ceux qui suivent l’évolution du cinéma pornographique auront noté depuis quelques années un courant d’adaptations, qui touche les œuvres classiques et/ou populaires. Le phénomène n’est pas nouveau, il est pour ainsi dire né avec le genre, avant même l’invention des images animées. Mais le fait est que les XXX parody abondent, comme James. The Dark Knight, Call of Duty, les Schtroumpfs, les Pierrafeu, Harry Potter, Star Wars, Star Trek, les (bien-nommés) X-Men, tous les super-héros en fait, ainsi que je ne sais combien de jeux vidéo et mangas… Je plains celui qui voudra tenter le pari de l’adaptation X avec Le soulier de satin de Paul Claudel. La pièce dure onze heures.
À l’heure où tout l’Internet t’abreuve d’idées de cadeaux pour Noël, je préfère procéder par élimination. Voici donc une liste de bouquins dont tu peux te dispenser, sauf si tu veux les offrir à quelqu’un que tu n’aimes pas : – L’Accusé (John Grisham) – Les Élus (Eugénie Lefez) – Ubiquity (Lionel Behra) – Aide-moi… (Nicci French)
À l’heure où l’année 2017 s’annonce déjà comme un formidable ramassage de savonnette, jeter un œil sur le travail de Chuck Palahniuk et David Fincher s’impose : Fight Club is coming.