Je t’arrête tout de suite, il n’est pas question de Christophe “Greystoke, Highlander, hin hin hin” Lambert mais de Christophe “pas l’acteur, l’autre” Lambert. Du prolifique Lambert, j’ai lu La Brèche, Le Commando des Immortels et Zoulou Kingdom ; Aucun homme n’est une île traîne dans ma pile à lire. Les quatre ont un point commun : l’uchronie.
Quand le poète t’invite au voyage, Fight Club envoie bouler les tour operators. Fight Club, c’est l’histoire d’un mec, en moins drôle que quand c’est Coluche qui raconte mais aussi jubilatoire. Le narrateur n’a pas de nom. Il a une vie de merde. La même que 99% de la population. Sa vie se résume à un métaphorique ramassage de savonnettes dans une douche de prison, son quotidien l’emmerde, son taf l’emmerde. Pour soigner ses insomnies, il se retrouve à fréquenter des groupes d’entraide qui ne le concernent en rien. Plus tard il croisera Tyler Durden, qui est tout ce qu’il n’est pas, un type libre dans sa tête (comme Diego). Ensemble, ils fondent le fight club, un club de combats clandestins. On ne doit pas en parler. Motus.
Tu connaissais Donjons et Dragons ? Voici Savons et Bastons.
Après Le Seagal et la fourmi, voici un autre recueil de fables. À ne pas mettre entre toutes les mains…
“La petite gerbille étant fort coquette, Se lavant la quille, s’astiqua les roupettes, Car il faut que ça brille, cria-t-elle à tue-tête. Ce soir je vais aux filles, ça sent la levrette.” Maxime Gillio
En attendant la présentation officielle de la couv’ et de la quatrième, petit teasing maison pour le prochain roman de Ludovic Bertin à paraître le 13 mars prochain : Le jour de ma mort (c’est le titre, pas la date où je prévois de claquer).
Je me suis retrouvé embarqué dans la lecture de Marie Béatrice par Louve. Romain Mikam cherchait des chroniqueurs pour son roman auto-édité, Louve a cité mon nom, j’ai dit pourquoi pas, Mikam a dit pourquoi pas aussi. Prêt à courir le risque de recevoir, je le cite, “une critique franche” et d’en prendre plein l’ego. La chronique qui suit est basée sur la version numérique. Connaissant le tarif d’une auto-édition, je me voyais mal amputer Mikam d’un exemplaire papier.