Des collections Lego Castle, j’en affiche deux au compteur : celle de ma jeunesse, vendue quand j’étais étudiant, et celle de maintenant. C’est parti pour un double inventaire et une séquence souvenir !

Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Des collections Lego Castle, j’en affiche deux au compteur : celle de ma jeunesse, vendue quand j’étais étudiant, et celle de maintenant. C’est parti pour un double inventaire et une séquence souvenir !
Le sujet phare de ces jours-ci sur le oueb des Lettres, c’est la réédition des pamphlets de Céline par Gallimard. L’annonce m’en a touché une sans remuer l’autre. Je ne comptais pas dégoiser sur le sujet ici.
Continuer la lecture de « Bagatelles pour une polémique »Oculus, film d’horreur américain de 2013, rebaptisé The Mirror pour sa sortie DTV française (pourquoi ne pas l’avoir appelé Le Miroir ?) en 2015. Perso, je l’appelle La bouse, parce que c’en est une.
Tin tin tintintintin tin tintintintin tin tintintintin !
Après ce générique que chacun aura reconnu, il est temps de parler de mes Lego Star Wars. Ma collection est à la fois étendue et ridicule. Étendue parce que 23 références et plus d’une centaine de figurines. Ridicule pour la même raison : j’ai surtout des minifigs, trois boîtes un peu conséquentes, tout le reste n’est que du menu fretin d’engins miniatures qui tiennent dans le creux de la main. Je suis loin d’atteindre les chiffres des plus passionnés qui alignent tous les vaisseaux de la saga, des modèles maousses et des collections de plusieurs centaines de références. Ça n’a jamais été mon but de toute façon : pas l’argent, pas la place, pas envie.
Comme Ninja Assassin avec lequel il est souvent confondu, Ninja tout court date de 2009 et a été produit par Nu Image.
Continuer la lecture de « Ninja – Isaac Florentine »Oh que j’avais peur de voir ce film !
Le thème du rapt d’enfants, je ne suis pas fan. Pas que le sujet me mette mal à l’aise, je déteste les gosses. Juste que neuf fois sur dix, on tombe dans le pathos à outrance, les passages tire-larmes appuyés, les scènes déchirantes vues et revues. Bref, le thème rêvé pour donner dans les facilités d’écriture et de mise en scène.