Parler de collection est un tout petit beaucoup excessif, vu que du Chima, j’en ai à peine et que l’inventaire se limite à une paire de trucs chopés par hasard dans des lots de vrac en solderie.
Gamme éphémère vendue de 2013 à 2015, sur la fin de la période où je n’avais pas encore repris les Lego, Chima met en scène des animaux anthropomorphes dans un univers mi-fantasy mi-SF. Très inspirée par la mythologie égyptienne (cf. les Aigles au look très Horus dans l’esprit), la licence n’hésite pas à piocher ailleurs sans trop se préoccuper de la notion de propriété intellectuelle. Ainsi, Laval, le personnage central sans lien de parenté connu avec un célèbre sous-fifre de Pétain, est un lion humanoïde avec une crinière rousse flamboyante, vêtu de bleu et armé d’une épée… comme Starlion dans les Cosmocats. On en dira autant des guerriers Scorpions dont le visage a été de toute évidence pompé sur les yautjas de la saga Predator.
