We want you ! Une bouteille à la mer

Je fais appel à la sagacité de la communauté d’Un K à part.
Une lectrice m’a contacté pour retrouver une anthologie de nouvelles sur laquelle elle cherche à mettre la main depuis des années. Le défi de cette quête, c’est qu’on n’a ni le titre, ni l’éditeur, ni les auteurs, ni l’année d’édition.

Voici les informations qu’elle m’a transmises sur l’ouvrage :
– une anthologie de nouvelles de science-fiction (sûr à 100%)
– le recueil n’est pas consacré à un auteur unique mais rassemble les textes de plusieurs auteurs (sûr à 100%)
– il s’agirait d’auteurs français (pas sûr à 100%)
– avant d’être regroupées dans cette anthologie mystère, les nouvelles proviendraient de publications dans des magazines ou fanzines, pas d’un appel à texte (pas sûr à 100%)
– l’année d’édition est inconnue, au plus tard autour des années 2000

Sur le contenu, trois nouvelles ressortent, les autres l’ont moins marquée cette lectrice :
– L’une des nouvelles était le monologue intérieur d’une statue consciente (un sphinx a priori) dans un jardin public. Le métabolisme de la statue suivait la course du soleil : au fur et à mesure de la journée, ses pensées s’accéléraient, la typographie se faisait de plus en plus serrée, sans accentuation ; et inversement quand le jour déclinait, avec des espaces de plus en plus grands et des points entre les mots.
– Une autre nouvelle traitait d’un homme vivant dans un monde féérique, visitant un zoo avec des sirènes et des chimères, tout en étant persuadé que le monde dans lequel il évoluait n’était qu’une illusion.
– Une autre nouvelle parlait d’un monastère pseudo moyenâgeux où un moine avait bricolé un ordinateur à partir d’un orgue, et l’Inquisition venait mettre son nez dans ses inventions.

Pour le moment, je sèche de mon côté. J’ai beau farfouiller ces deux vastes banques de données que sont ma mémoire et Internet, chou blanc. Si ça fait tilt parmi vous, merci de partager le nom du Graal dans les commentaires, ça fera plaisir à cette lectrice.

Publié le Catégories On se bouge

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