Comme pour les gammes Chima et Harry Potter, parler de “collection” est un petit peu ambitieux avec trois références en stock, nombre qui a au moins le mérite de ne pas donner le tournis et d’aller vite à compter.
Dans cette gamme, on croise le pire comme le meilleur, les sets valables côtoient les plus dispensables. La faute à un concept fourre-tout qui ratisse trop large pour afficher une unité thématique qui tienne debout. Pourtant, j’adore le mélange des genres, mais là, ça fait trop. Ninjas et samouraïs, dragons chinois et méchas japonais, pagodes, rien que sur les inspirations asiatiques, les constructions oscillent entre la SF et la fantasy, parfois ni l’une ni l’autre pour les sets “architecturaux” qui ressemblent davantage à du City ambiance Extrême-Orient. Là-dessus, ajoute côté méchants du steampunk et du post-apo (genre le Dieselnaut 70654) et tu te retrouves avec une gamme attrape-tout dont les différents éléments ne se marient pas toujours très bien.
Cela dit, je garde un œil sur la gamme, dont les nombreux robots de combat, à commencer par ceux dans les teintes rouges, peuvent fournir une bonne base de départ à du MOC Warhammer 40K Blood Angels.
Catégorie : Cabinet de curiosités
Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Le retour de la galette
Mon plat à tarte et ma galette des rois en avaient marqué plus d’un(e) pendant les Halliennales 2018.
L’Épiphanie 2019 marque le retour du roi de la galette, l’Aragorn de la pâtisserie !
Des années à chercher la recette secrète parmi les tombeaux de l’Égypte antique jusqu’à tomber sur la pyramide du pharaon Paricilagaleth…
… une formation intensive auprès des moines shaolin du temple d’Épi Fahn Hi…
… la fondation du Frangipane Club, dont la première règle est de ne pas parler du Frangipane Club (et encore moins de galettes à la pomme et autres fantaisies hérétiques)…
… une quête épique aux quatre coins du globe (géométrie non euclidienne qui ferait plaisir à Lovecraft) et au fin fond de la Terre creuse pour rassembler les ingrédients…
Et voilà le travail ! Bon appétit !
Cold Prey – La trilogie
La jaquette du navrant Dagmar, l’âme des Vikings mentionnait que les coupables n’en étaient pas à leur coup d’essai. Et c’est vrai. Avant, il y eut la trilogie Cold Prey, qui voit ressortir trois noms aux mêmes postes. Roar Uthaug a réalisé le premier opus, produit le 2, synopsisé le 1 et le 2, avant de jeter l’éponge pour le 3. Thomas Moldestad a scénarisé les deux premiers volumes. Martin Sundland a produit les trois volets coldpreyiens. En outre, Dagmar (Ingrid Bolsø Berdal dans le civil) a joué dans les deux premiers.
Fallait que je vérifie, je me suis tapé les trois. Les films, j’entends, pas le trio réalisateur-scénariste-producteur.
Mais pourquoi ? Il est y pas maso ? Ma curiosité scientifique me perdra…
Je n’ai pas été déçu du voyage…
Bye bye 2018
2018 s’achève. J’avais pris de l’avance pour dresser le bilan de l’année écoulée, je ne vais donc pas revenir dessus.
2019 s’annonce comme une année charnière pour le blog grâce à l’opération Savonnette. Tous les détails à venir courant janvier…
Vous reprendrez bien un sushi ?
J’ai commencé à sortir ma bibliographie sur le Japon pour dresser l’inventaire. Il a fallu arrêter en cours de route, la planche du bureau commençait à plier sous le poids des bouquins…
Dans tout ce bazar, je conseille comme incontournables :
– Natsume Sōseki : Le pauvre cœur des hommes
– Mishima Yukio : Confessions d’un masque
– Maurice Pinguet : La mort volontaire au Japon
– Ruth Benedict : Le chrysanthème et le sabre
Chroniqués sur le blog, vous pouvez aussi jeter un œil sur Yakuza (Alec Dubro et David Kaplan), Ring (Suzuki Kōji), La pierre et le sabre et La parfaite lumière (Yoshikawa Eiji), Le sabre des Takeda (Inoue Yasushi), Le sabre japonais (Gregory Irvine), Geisha (Arthur Golden), Ma vie de geisha (Iwasaki Mineko), Mémoires d’une geisha (Inoue Yuki) et L’Abécédaire du Japon (Moriyama Takashi).
Vorace – Antonia Bird
Les fêtes de fin d’année sont synonymes de neige et d’orgies de bouffe, le moment idéal pour une chronique de Vorace (Ravenous en VO), western d’horreur sorti en 1999 et réalisé par Antonia Bird sur un scénario de Ted Griffin.
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