Aujourd’hui, on va parler d’un de mes films préférés : Les sept samouraïs.
L’histoire d’une poignée de guerriers embauchés en 1652 par des villageois pour affronter une horde de bandits.
Catégorie : Chroniques ciné
Pour sortir la tête du texte et des bouquins, les images animées offrent une bonne alternative. Une chronique de film de temps en temps, ça me rappellera l’époque où j’étais blogueur cinéma.
Dead Shadows – David Cholewa
Comme son nom ne l’indique pas, Dead Shadows est un film français. Je suppose que le titre en anglais, c’est pour l’export. Y a pas de gens à l’étranger pour traduire les titres dans leur langue ? Enfin, tant mieux si on l’exporte, on n’en veut pas chez nous.
Continuer la lecture de « Dead Shadows – David Cholewa »La cabane dans les bois – Drew Goddard
Une bande d’étudiants part en week-end dans – le titre donne un indice de taille – une cahute isolée au fond de la forêt.
Voilà du pitch à l’originalité zéro qui promet un slasher comme on en a vu mille fois. Sauf que non. La cabane au fond des bois joue une carte peu commune pour le genre : celle de l’inventivité.
Bangkok Fighter – Jean-Marc Minéo
On peut trouver cet étron intergalactique sous au moins trois titres : Bangkok Fighter, Bangkok Renaissance et Bangkok Revenge. Peu importe le plumage, le ramage ne change en rien : ce Ong-Bak du pauvre est une merde finie.
Continuer la lecture de « Bangkok Fighter – Jean-Marc Minéo »Hansel et Gretel : Witch Hunters – Tommy Wirkola
Vu la parenté d’esprit, le film Hansel & Gretel (2009), c’est un peu le fils caché du Van Helsing de Stephen Sommers (2004). En un poil mieux mais toujours loin du compte.
Continuer la lecture de « Hansel et Gretel : Witch Hunters – Tommy Wirkola »Cellulaire – Stephen King
Cellulaire
Stephen King
Le Livre de Poche
On va régler d’entrée le cas de l’adaptation cinéma : Cell Phone (ou L’appel des zombies) est une daube intergalactique, un bon gros navet des familles. Si j’étais du genre à balancer des vannes scatos, j’aurais orthographié cet étron Selle Phone. Mais comme je suis à cheval sur la classe et l’élégance, on fera sans selle, comme le vélo.
Le bouquin se situe un cran au-dessus. Allez, on va dire deux. De ce que j’ai lu du père King, soit tous ses titres avant Cellulaire et une poignée après, je crois que c’est le pire. Pas pour rien qu’il y un avant et un après…