Le set 71457 de la gamme Dreamzzz promettait du lourd sur le papier.
Au final, faudra se contenter d’un “mouais” pas super convaincu.
Dommage.
Catégorie : Cabinet de curiosités
Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Black Death – Christopher Smith
Sean Bean joue dans Black Death.
Il meurt.
Enfin, son personnage meurt, lui, a priori, il a survécu au tournage. Je crois.
Le Gardien des cauchemars (Lego Dreamzzz)
La revue du lot de brocante évoqué dans la revue du lapin sous LSD se poursuit. On passe cette fois du côté des méchants avec le set 71455 qui contient le Gardien des cauchemars (Grimkeeper en VO) rebaptisé en affligeant “monstre-cage” dans l’intitulé VF de la boîte.
Continuer la lecture de « Le Gardien des cauchemars (Lego Dreamzzz) »Nine Dead – Chris Shadley
Pompant sur Saw qui pompait sur Cube, Nine Dead se propose d’enfermer ensemble des gens qui n’ont a priori rien à voir entre eux (sauf qu’en fait, si, mais c’est pas un scoop) et de les déglinguer pour occuper le temps en attendant d’empiler dans ses dernières minutes des twists plus WTF les uns que les autres. Tout ça pour n’avoir en vérité rien à raconter.
Continuer la lecture de « Nine Dead – Chris Shadley »Izzie et Bunchu le lapin (Lego Dreamzzz)
J’avais hésité à m’acheter à sa sortie il y a deux ans le set 71453 “Izzie et Bunchu le lapin” de la gamme Lego Dreamzzz. Je trouvais le machin assez farfelu pour mériter l’attention mais débourser 21 balles juste parce qu’il me faisait marrer, ça me semblait un peu cher les cinq minutes de rigolade.
Coup de bol lors d’une réderie au printemps de cette année, une pleine caissette de Lego Dreamzzz n’attendait que moi pour se faire rafler : 40 balles pour cinq sets – celui-ci, le 71455, le 71457, le 71458 et un doublon, Z Blob que j’avais déjà – complets en termes de briques et de figs, avec les notices, état neuf, quand il aurait fallu payer le quintuple aux prix fort. Dans le lot, le fameux lapin, qui m’est donc revenu à 4€.
La saga Die Hard
Cinq films racontent les aventures de John McClane, dont deux, voire quatre, sont de trop. On dirait la saga Highlander. Eh oui, parfois, le meilleur moyen d’exploiter une idée, un univers, un personnage, c’est encore de se contenter d’un seul excellent film plutôt qu’une série de foirades.
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