À l’approche des vacances, tout le monde cherche un livre pour l’été. Pas un trop gros, puisqu’il ne sera qu’un prétexte pour pouvoir affirmer à la rentrée “j’ai lu”, alors qu’en vérité la plage horaire accordée au farniente aura été de loin supérieure à celle de la lecture.
J’ai ce qu’il vous faut dans ma besace : du petit bouquin guère épais et pas cher par-dessus le marché. Alors par contre, les titres que j’ai à proposer ne sont pas tous terribles, terribles. On ne peut pas tout avoir…
Mois : juin 2024
L’Appel de Cthulhu (jeu de rôle)
Attention, on ressort les vieux tromblons, moitié parce qu’on s’embarque vers les années 20 pour le contexte et moitié parce qu’on va parler de bouquins antiques des années 80-90.
En route pour les incunables de L’Appel de Cthulhu, jeu de rôle inspiré de l’œuvre de Lovecraft…
La Bible
La Bible
Dieu, Matthieu, Marc, Luc, Jean et alii
Un livre dont le titre signifie “livre”, voilà ce qui s’appelle un choix d’écriture pertinent !
Le reste est-il à la hauteur ?…
Olangar, le guide
La saga de Clément Bouhélier aura, avec le temps, trouvé et étoffé sa place tant dans ma bibliothèque que sur le blog : quatre chroniques (les deux tomes de Bans et barricades, le diptyque Une cité en flammes et Le combat des ombres et bientôt Histoires au crépuscule), un diorama discount (l’attaque du train) et bien sûr l’incontournable livre de recettes.
Mais voilà, la saga est finie. Revenir dessus, peut-on ? demanderaient les petits pédestres.
Olangar, Le combat des ombres – Clément Bouhélier
Olangar, Le combat des ombres
Clément Bouhélier
Critic
Retour à Olangar, la-ville-dont-on-ne-se-lasse-pas, comme on la surnomme dans les guides touristiques. Après Bans et barricades et Une cité en flammes, voici Le combat des ombres qui, rien qu’au titre, annonce du musclé comme ses prédécesseurs et promet de ne pas s’ennuyer (spoiler : promesse tenue).
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La Horde du Contrevent
Alain Damasio
Folio SF
En version courte, La Horde du Contrevent est un roman surcoté, plein de bonnes idées mal employées, brillant parfois, clinquant souvent, dont le caractère interminable doit autant aux longueurs de la narration qu’à son style plus ampoulé qu’une rangée de spots, le tout menant à la fin la plus “tout ça pour ça” de l’histoire de la littérature, serpent qui se mord la queue pour constituer le plus formidable hymne à l’orgueil qu’il m’ait été donné de lire.