L’automne est bien installé et on se pèle les miches bien comme il faut. Vu ce que coûte le chauffage, va falloir faire sans pour pouvoir payer le loyer et la bouffe. On se rabattra sur les notions alternatives pour dégager un peu de chaleur et éviter l’hypothermie. Le boulard arrive en tête de liste des plans B pour se réchauffer à petit prix, à égalité avec foutre le feu aux symboles du capitalisme et à ses défenseurs (mais cette dernière option risque de vous valoir quelques ennuis avec la loi, c’est à vos risques et périls).
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Après celui de Vador (7150) et le bombardier (75347), voici le TIE conçu pour l’interception. Il est accompagné par un chasseur Fang mandalorien, ce qui est un plus pour pouvoir jouer à la guéguerre et faire s’affronter les deux vaisseaux. Par contre, le prix augmente dans les mêmes proportions et la boîte grimpe à 100 balles, beaucoup trop pour un chasseur sommaire et un TIE qui n’est jamais qu’une boule à quatre ailes.
TIE Bomber
De tous les TIE, le bombardier est le moins bien loti. Si on excepte les versions miniatures en polybag, il faut remonter à 2003 et au set 4479 pour tomber sur la dernière édition en date, qui fut aussi la première, donc la seule pendant vingt ans.
Lego a eu la bonne idée de sortir une nouvelle version du TIE Bomber, remise au goût du jour, au prix du jour aussi à 65€ la boîte, ce qui est assez cher pour un vaisseau d’une taille correcte sans être maousse non plus.
Charlie – Stephen King
Charlie
Stephen King
J’ai Lu
Étudiants fauchés, Andy et Vicky participent à un programme gouvernemental pour gratter quelques ronds. Lui en sort avec un pouvoir de suggestion, elle de télékinésie. Ils se marient et ont une fille, Charlie, qui développe un talent pour la pyrokinésie plutôt qu’hériter des pouvoirs de ses parents, parce que fuck la génétique et la logique, on ne s’encombre pas avec des détails aussi triviaux quand on est Stephen King.
Les sept momies – Nick Quested
Six prisonniers s’évadent, embarquent une otage, fuient à travers le désert, découvrent un médaillon qui traînait là au milieu de nulle part, rencontrent un vieil Apache qui habite là au milieu de nulle part aussi, et partent à la chasse au trésor plutôt qu’en cavale au Mexique.
Cette seule phrase couvre à elle seule la moitié du film, c’est dire si on s’emmerde devant ce film qui sera à chier jusqu’au bout.
Critiques express (60) Samouraïs
Cet article vient en complément des chroniques ciné sur les Sept samouraïs et Yojimbo, des ouvrages sur Miyamoto Musashi et l’art du sabre, des romans Le sabre des Takeda et Le parfum de Katsu, de l’essai La mort volontaire au Japon.
On l’aura compris, le sujet des amouraïs m’intéresse beaucoup.