J’avais du temps à tuer, je me suis posé devant une chaîne de streaming. J’ai regardé des trucs, j’en suis ressorti en me disant que j’aurais aussi bien pu faire autre chose. Sur quatre films, deux que j’avais vus (Copycat et Protection rapprochée), quelconques en leur temps, n’ont pas bonifié avec l’âge ; quant aux deux autres (Un homme en colère et A working man), l’un était mouais bof et l’autre pas mal sans non plus atteindre des sommets.
Continuer la lecture de « Hollywood Buvard (10) Thrillers »Les brumes de Babylone – Michael McDowell
Les brumes de Babylone
Michael McDowell
Pocket Terreur
Celles et ceux qui ont déjà essayé de s’enfiler un cactus dans le fondement comprendront l’analogie. Les autres devront faire appel à leur imagination (ou à un fleuriste). La lecture des Brumes de Babylone est une expérience désagréable, douloureuse même, du genre que tu regrettes, beaucoup et longtemps, et t’amène à te demander comment, à un moment, t’as pu penser que c’était une bonne idée. En tous les cas, une chose est sûre : cette purge imbuvable est largement surcotée.
Continuer la lecture de « Les brumes de Babylone – Michael McDowell »Construction de la Batcave Lego – épisode 18
Près d’un an déjà depuis le dernier article à propos de la Batcave Lego. Pas vu le temps passer…
La partie extérieure avec la plage et la grotte sous-marine est restée au point mort, moitié faute des briques nécessaires, moitié parce que pas eu trop le temps ou l’envie de m’y mettre à fond.
Le chantier a quand même un peu avancé : toutes les pièces sont terminées et le bâtiment est donc fini dans sa totalité. Aujourd’hui, on va aborder le labo d’Oracle et un énième imprévu, le garage à motos.
Critiques express (77) Scénario catastrophe
L’été… les vacances… la glandouille…
Corollaire de tout ça, j’ai la flemme de rédiger une intro.
On va donc rentrer direct dans le vit du sujet.
Le colonel Chabert – Honoré de Balzac
Le colonel Chabert
Honoré de Balzac
Librio
La Restauration, c’est tout nase et ses élites nobiliaires ne valent pas un pet de lapin au regard de celles du glorieux Empire, voilà ce qui ressort de cet opus. Bah non, c’est ni mieux ni pire, suffit d’ouvrir n’importe quel livre d’histoire pour en avoir la confirmation.
Le roman est court, ce qui présente deux avantages. D’une, on n’a pas le temps de s’ennuyer comme souvent dans les textes de Nono où les descriptions interminables rivalisent avec les dialogues dont on ne voit pas le bout. De deux, on n’a pas le temps non plus de mourir étouffé sous la mauvaise foi napoléonophile du machin.
Hollywood Buvard (9) Pan, pan !
J’ai commencé toutes les chroniques Hollywood Buvard en annonçant “pour le meilleur et pour le pire”, vu la qualité à géométrie variable des titres abordés.
Là, non.
Y a que du pire.



