Destin scellé 1, Au-delà de l’Ombre
Olivia Lapilus
Sharon Kena
Même s’il n’y a ni légionnaires ni chèvres dedans, le dernier roman en date d’Olivia Lapilus sent bon le sable chaud.
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Destin scellé 1, Au-delà de l’Ombre
Olivia Lapilus
Sharon Kena
Même s’il n’y a ni légionnaires ni chèvres dedans, le dernier roman en date d’Olivia Lapilus sent bon le sable chaud.
Très attendu en 2010, Ultramarines a été le premier film de la franchise Warhammer 40,000. Et le dernier à ce jour. C’est pas mauvais, c’est très mauvais.
Pas à une fantaisie près, je me suis livré à une conversion d’Arishem du set Lego 76155 en Wraithknight eldar de WH40K.
Le gars aura occupé pas mal de temps de lecture depuis le collège et occupe toujours une place conséquente dans ma bibliothèque.
Chroniquer par le menu chacun de ces titres est un travail de longue haleine dont je suis loin de voir le bout, ne serait-ce que parce qu’il y a beaucoup de relectures préalables à assurer. Les chroniques de mémoire d’ouvrages lus il y a plus de trente ans pour certains, ça serait un peu trop ambitieux et surtout très flou.
En attendant, tour d’horizon rapide de ce que j’ai lu de la biblio du bonhomme, histoire de débroussailler le terrain…
L’engin a failli être la dépanneuse de La septième compagnie en version Lego, il sera in fine un modèle historique de Sd.Kfz. 251 dans sa version 10, soit un halftrack muni d’un PaK 36, pièce antichar de 37 mm.
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Alan Davis
CAP
Par certains côtés, Le clan rappelle ces vieilles séries des années 80 pleines de gens pétés de tunes qui occupaient leur oisiveté à se friter avec d’autres richards du même acabit. Dallas et Dynasty ont marqué leur époque de leurs interminables sagas fleuves. En France, la réplique ne traîne pas pour commencer à produire de la copie de ces fresques familiales, avec moins d’ambition, moins de budget, moins d’épisodes. Ainsi Châteauvallon vient pourrir les écrans télé en 1985 et trois ans plus tard, Le vent des moissons inaugurait le concept de la “saga de l’été”, ces mini-séries au canevas identique de rivalités claniques sur fond de château, vignoble, domaine agricole ou autre propriété au parfum tant de terroir que de droite, avec tout l’arsenal des grosses ficelles narratives et du bling-bling (passion amoureuse, grosses bagnoles de droite, secrets de famille, héritage à six chiffres), le tout rehaussé d’un titre pondu par Météo France (Le vent des moissons, Tramontane, Orages d’été, Les grandes marées, Dans un grand vent de fleurs, Un été de canicule).
La BD n’est pas en reste, puisqu’au milieu des années 80, celui qui avait œuvré pour Pilote en tant que Jean Pailler, connu aussi comme Jo Cordès et Jean Pignar dans l’érotisme, se lance dans Le clan (sous le nom d’Alan Davis, parce qu’il aime de toute évidence collectionner les noms de plume).
Les quatre tomes qui forment cette fresque du Clan, c’est Dallas avec du cul. Beaucoup de cul.